[Liste-framonde] BRÈVES 2 juillet 2019
Amelie Nadeau
amelie.nadeau at auf.org
Mar 2 Juil 17:28:52 EDT 2019
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE
APPEL À COMMUNICATIONS
L’université en contexte plurilingue : pratiques, contraintes, défis
Colloque international organisé par
Le Laboratoire d’Etudes et de Recherches sur l’Interculturel
(Université Chouaïb Doukkali. El Jadida. Maroc)
et
Le Laboratoire interuniversitaire des sciences de l’éducation et de la communication
(Université de Haute Alsace. Mulhouse. France)
28-29 novembre 2019
Université Chouaïb Doukkali. El Jadida. Maroc
Date limite : 15 juillet 2019
Argumentaire
La majorité des universités dans le monde (sinon toutes) comptent, à différents degrés, parmi sa population de plus en plus d’étudiants de nationalités ou d’origines étrangères. Ce phénomène recherché (coopération bilatérale ou internationale, visibilité internationale, classement des universités,…) ou subi (déplacement des populations, immigration, exil, …), dû à des facteurs historiques, politiques, idéologiques, économiques, culturels, bien déterminés, est devenu une réalité à laquelle se trouvent confrontées les institutions académiques ces dernières décennies (Vaniscotte, Houguenague et West, 2003 ; Unesco, 2004 ; Harfi et Mathieu, 2006).
Ce type de contact est susceptible d’initier un environnement nouveau, une nouvelle dynamique sociale dont les effets peuvent s’étendre au-delà de l’espace (sur les plans démographique, sociologique, économique, culturel,…) et du temps académiques (générations futures) (Gaillard, 1999 ; Latreche, 2001 ; Breton et Lambert, 2003).
Partant de ce fait, il est permis de s’interroger sur les dispositions prises par les différents acteurs (Etat, ministères, responsables universitaires, enseignants, administratifs, élus, …) pour appréhender, dans un cadre général, les différentes dimensions d’une situation où questions linguistiques, culturelles et problèmes politiques, économiques et sociaux mais aussi de parcours de formation et professionnels s’imbriquent (Dervin, 2008 ; Chevalier et Gérard, 2009 ; Pilote et Magnan, 2012). Les enjeux mis en œuvre sont importants, plus particulièrement dans un espace tel que l’université.
Notre intérêt porte essentiellement sur cette zone de rencontre entre étudiants de langues (premières) et de cultures différentes dans l’espace d’enseignement et de formation ou dans les autres espaces publics (Zarate, Levy, Kramsch, 2008 ; Ennassiri 2012 ; Matthey et Conti, 2015 ; Klinkenberg, 2015a ; Ballatore, 2015 ; Mabrour, Mgharfaoui et Sabatier-Bullock, 2019). Quelles sont les caractéristiques de ce contact ? Quels impacts exercent les cultures et les identités dans les échanges interhumains ? Comment fonctionnent les représentations interculturelles réciproques ? Quels jeux de distance et de proximité s’opèrent-ils dans les interactions entre les uns et les autres ? quelle(s) médiation(s) utilise-t-on en contexte hétérogène ? Communique-on sur les différences culturelles ou celles-ci sont-elles rangées dans la sphère du tabou ou du moins dans le mutisme de l’implicite ?
L’objectif de ce colloque, foncièrement pluridisciplinaire qui permet de réunir des chercheurs dans des domaines de sociologie, de psychologie, de linguistique, de didactique, de sociologie, d’économie, de pédagogie, …, est d’appréhender la complexité du processus de communication en situations de contact (interculturel) au sein de plusieurs espaces. Il tentera d’interroger le fonctionnement de la communication interculturelle dans le cadre de la mobilité internationale.
Axes proposés (non limitatifs) :
- Politiques linguistiques et culturelles des universités,
- Enseignement/apprentissage et dynamique linguistique,
- Mobilité internationale des étudiants : contraintes (socio)linguistiques et culturelles,
- L’université face aux défis de la mobilité internationale, …
Eléments bibliographiques
Alao, G., Argaud, E., Derivry-Plard, M., Leclercq, H. (dir.) (2008). Grandes et petites langues. Pour une didactique du plurilinguisme et du pluriculturalisme, éd. Peter Lang, 315 pages.
Ballatore, M. (2015). Erasmus et la mobilité des jeunes Européens, Paris, PUF.
Breton, G. et Lambert, M. (Éds). (2003). Globalisation et universités. Nouvel espace, nouveaux acteurs, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 264 p.
Chevalier C. et Gérard M. (2009). « La mobilité étudiante est-elle facteur de croissance ? », dans Castanheira M. et Veugelers R., Éducation et Croissance, Rapport de la Commission 1 au 18eCongrès des économistes belges de langue française, CIFOP, Charleroi.
Dervin, F. (2008). Métamorphoses identitaires en situation de mobilité, Thèse de doctorat en Didactique des langues et des cultures, Soutenue en 2008 à Paris 3 en cotutelle avec Turun Yliopisto, sous la direction de Martine Abdallah-Pretceille et de Eija Suomela-Salhttps://www.researchgate.net/profile/Fred_Dervin/publication/267401773_Metamorphoses_identitaires_en_situation_de_mobilite/links/559cd80008ae0035df249e8f.pdf
Ennassiri H. (2012). La Communication interculturelle dans le supérieur marocain : impacts, médiations, enjeux et transferts, Thèse de Doctorat soutenue à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Université Chouaïb Doukkali (El Jadida. Maroc), sous la direction de A. Mabrour et B. Lepez.
Gaillard, A.-M. et Gaillard, J. (1999). Les enjeux des migrations scientifiques internationales. De la quête du savoir à la circulation des compétences, Paris, L’Harmattan, 233 p
Garneau, S. (2007). « Les expériences migratoires différenciées d’étudiants français », Revue européenne des migrations internationales [En ligne], vol. 23 - n°1, URL : http://remi.revues.org/3731 ; DOI : 10.4000/remi.3731
Harfi, M. et Mathieu, C. (2006). « Mobilité internationale et attractivité des étudiants et des chercheurs ». Horizons stratégiques, 1(1), 28-42. https://www.cairn.info/revue-horizons-strategiques-2006-1-page-28.htm.
Klinkenberg, J.-M. (2013). « Langue et identité. Langues et identités régionales », Apports de l'histoire aux constructions identitaires. Appartenances, frontières, diversité et universalisme (dir. L. Courtois, J. Pirotte, S. Lemaître), Louvain-la-Neuve, Fondation wallonne P.-M. et J.-F. Humblet (Publications de la Fondation wallonne P.-M. et J.-F. Humblet, série Recherches, 6), pp. 53-73.
Klinkenberg, J.-M. (2015a), La Langue dans la cité. Vivre et penser l’équité culturelle, Bruxelles, Les Impressions nouvelles.
Latreche, A. (2001). « Les migrations étudiantes de par le monde », Hommes & Migrations, Hors dossier Nouvelles mobilités, n° 1233, septembre-octobre, pp. 13-27.
Mabrour A., Mgharfaoui Kh., Sabatier-Bullock, C. (Drs). (2019). Enseigner et apprendre en contextes plurilingues : quels aménagements et quelles modalités pour les langues premières/maternelles Relais n° 5.
Matthey, M. et Conti, V. (dirs), (2015). Cohabitation des langues et politique linguistique. La notion de langue partenaire, Neuchâtel, Délégation à la langue française.
Pilote, A. et Magnan, M.-O. (2012). « La construction identitaire des jeunes francophones en situation minoritaire au Canada: négociation des frontières linguistiques du parcours universitaire et de la mobilité géographique » in Canadian Journal of Sociology, Vol. 37, n ° 2 (2012), p. 169-195 (28 pages)
Unesco (2004). Recueil de données mondiales sur l’éducation 2004. Statistiques comparées sur l’éducation dans le monde, Institut de statistique de l’UNESCO, Montréal, 155 p.
Vaniscotte, F., Houguenague, A. et Anne West, A. (2003). La mobilité étudiante en Europe, mythe ou réalité ? Comparaison France – Royaume-Uni, Paris, L’Harmattan, 248 p.
Zarate, G., Levy, D., Kramsch, C., (Coord.), (2008). Précis du plurilinguisme et du pluriculturalisme, Paris, Editions des Archives Contemporaines
CALENDRIER
Avril 2019 : Diffusion de l’appel à communications
15 juillet 2019 : Date limite de soumission des propositions
30 juillet 2019 : Réponse aux contributeurs
30 septembre 2019 : Date limite d’inscription au colloque
30 octobre 2019 : Remise des textes définitifs des communications. Les textes sélectionnés, après une double évaluation anonyme du comité scientifique, seront publiés dans les actes du colloque.
28- 29 novembre 2019 : Colloque.
Frais d’inscription : 80 euros (50 euros pour les doctorants). Ce montant couvre :
- la documentation
- les deux repas de midi (28 et 29 novembre)
- les pauses café
- le transport (centre ville- Faculté des Lettres)
- la publication des actes pour les communications retenues par le comité scientifique
Adresse du colloque : https://novatris2019.sciencesconf.org
Coordonnateurs :
abdelmabrour at yahoo.fr<mailto:abdelmabrour at yahoo.fr>
sondess.zarrouk at uha.fr<mailto:sondess.zarrouk at uha.fr>
Comité scientifique
Jacqueline BACHA (Université de Jendouba. Tunisie),
Sondess BEN ABID ZARROUK (Université Haute Alsace. France),
Saloua BENNAGHMOUCH (Université Haute Alsace. France),
Johann CHALMEL (Université Haute Alsace. France),
Fatima CHNANE-DAVIN (Université Aix-Marseille. France)
Bernard COULIBALY (Université Haute Alsace. France)
Jean-Pierre CUQ (Université de Nice. France)
Hadj DAHMANE (Université Haute Alsace. France),
Sladjana DJORDJOVIC (Université Haute Alsace. France)
Abdelhamid IBN EL FAROUQ (Université Hassan 2. Maroc)
Latifa KADI (Université Badji Mokhtar d’Annaba. Algérie),
Greta KOMUR (Université Haute Alsace. France),
Foued LAROUSSI (Université de Rouen. France)
Marlène LEBRUN (HEP. Suisse)
Abdelouahad MABROUR (Université Chouaïb Doukkali d’El Jadida. Maroc),
Khalil MGHARFAOUI (Université Chouaïb Doukkali d’El Jadida. Maroc),
Marie-Françoise NARCY-COMBES (Université de Nantes. France)
Jean-Paul NARCY-COMBES (Université de Paris 3. France)
Nicole POTEAUX (Université de Strasbourg. France)
Jana QUINTE (Université Haute Alsace. France)
Cécile SABATIER-BULLOCK (Université de Simon Friser. Canada)
Abdelhak SAHIBE-DDINE (Université Chouaïb Doukkali d’El Jadida. Maroc)
Andrea YOUNG (Université de Strasbourg. France).
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE
Appel à projet de recherche pour une étude sur les variétés du français
Date limite : 16 août 2019
I. Contexte et enjeux
L’articulation harmonieuse entre le français et les langues nationales, tant du point de vue des usages que des représentations, fait partie des conditions essentielles à l’avenir de la francophonie en Afrique et dans l’Océan Indien. Elle doit être considérée dans une réflexion plus générale où la prise en compte de la diversité linguistique ne s’impose pas seulement par la réalité culturelle, mais parce qu’elle doit s’envisager aussi comme garante de la réussite des processus socio-éducatifs. En clair, par-delà la valorisation du plurilinguisme, se posent les questions de la polycentration du français et de normes endogènes, de l’adaptation de son enseignement aux contextes locaux et du désir de légitimation de cultures régionales.
Ainsi, il ne s’agit pas d’examiner la question de la variation sous l’angle exclusivement linguistique, mais bien de l’aborder comme un problème politique.
En effet, les rapports qui s’établissent entre la langue française et les langues premières exercent une influence sur au moins trois questions qui requièrent une attention particulière :
1. celle des représentations du français et de ses variétés. En effet, elles ont une incidence majeure sur la place des variétés de français (mais aussi des langues nationales), notamment dans les processus d’apprentissage, souvent rejetées aussi bien par l’institution que par certains locuteurs et, plus spécifiquement, les parents d’élèves ;
2. celle de l’intercompréhension entre locuteurs francophones associée à l’idée d’espace linguistique : la francophonie ;
3. celle de l’enseignement/apprentissage fondé sur un standard, si ce n’est unique, du moins partagé et négocié, d’un idiome commun afin de créer les conditions propices à la réussite des élèves issus des différents espaces francophones.
Parallèlement, une réflexion sur l’organisation d’une gestion concertée des corpus francophones s’impose. En effet, si l’on part du constat qu’il n’y a ni instance internationale compétente ni chambre de concertation en matière de corpus (par exemple en matière de modernisation de l’orthographe, d’évolutions morphologiques et syntaxiques qui reflètent les évolutions sociales…), il convient de susciter un mouvement qui aboutirait à l’émergence d’une concertation permettant de gérer adéquatement la polycentration de la langue française.
II. Objectifs - Bénéficiaires
Une meilleure connaissance du sujet suppose d’une part, d’étudier les pratiques langagières et les représentations dans différents contextes plurilingues impliquant la langue française et, d’autre part, d’en mesurer les effets sur l’apprentissage et la transmission du français, sur les usages et sur l’intercompréhension entre francophones (aux échelles locale, nationale, régionale et internationale).
Pour chaque territoire étudié, il sera alors possible de formuler des hypothèses d’évolutions possibles concernant les usages des variétés de la langue française et d’identifier des actions politiques et opérationnelles susceptibles d’anticiper, de légitimer et de garantir l'avenir du continuum langagier des pratiques langagières en français, et d’en prendre conscience , notamment sous l’angle de l’intercompréhension et de l’éducation.
Les résultats de l’étude seront destinés à la communauté scientifique francophone, aux acteurs de la promotion de la langue française et de la diversité linguistique, ainsi qu’aux décideurs en matière de politique linguistique.
III. Tâches
A. État des lieux
• Établir une bibliographie commentée des travaux réalisés sur le sujet de la variation sociolinguistique du français.
• Faire un inventaire descriptif (hors corpus) des principales variétés de français - par usage et par contexte - et des influences significatives opérées par les langues en contact en justifiant la sélection et en signalant les ressources disponibles. Il faudra aussi prévoir une réflexion sur des types de contacts de langues comme l'alternance codique.
• Réaliser (après exploitation des ressources bibliographiques recensées précédemment) quelques enquêtes qualitatives et critiques sur les pratiques d’enseignement/apprentissage recourant aux variétés de français (approche comparative possible avec l’emploi des langues sources dans l’enseignement des langues étrangères).
• Réaliser (après exploitation des ressources bibliographiques recensées précédemment) quelques enquêtes sur les représentations et les discours associés aux variétés de français (et aux pratiques d’alternance codique) ainsi qu’aux langues nationales sur quelques territoires de l’espace francophone (sélectionnés selon le statut du français, le statut et l’usage des langues nationales, la place occupée par la variation sociolinguistique). Insister tout particulièrement sur le rapport à la norme, à la correction et au statut social.
• Répertorier (après exploitation des ressources bibliographiques recensées précédemment) les expériences de gestion concertée du corpus entre francophones.
B. Synthèse - Analyse - Recommandations
• Classer les recherches recensées dans la bibliographie par thèmes abordés et, si possible, par territoire.
• Dégager les convergences et les divergences à partir de l’inventaire descriptif des principales variétés de français.
• Établir une liste de bonnes pratiques des usages des variétés de français dans les processus d’apprentissage en justifiant leur sélection assortie d’une recension des obstacles à leur mise en œuvre et de recommandations pour les lever.
• Présenter un tableau des représentations associées à la langue française et à ses variétés en questionnant particulièrement les notions de « langue coloniale », « langue du colonisateur » (à prévoir dès l’établissement du questionnaire).
• Évaluer l’impact et les limites des expériences de gestion concertée du corpus par les francophones afin de dégager des propositions.
IV. Liste indicative* de pays pour les enquêtes
Algérie, Bénin, Cameroun, Comores, Côte d’Ivoire, Gabon, Liban, Madagascar, Maroc, Maurice, RDC, Tunisie.
* Cette liste a été constituée sur la base de l’existence avérée ou supposée d’une présence, soit de variations sociolinguistiques du français, soit de pratiques relevant de l’alternance codique. La/le chercheu-se/r motivera ses choix et ou modifications éventuelles.
V. Livrables
1. Bibliographie ordonnée et commentée des travaux réalisés sur le sujet de la variation sociolinguistique du français.
2. Inventaire descriptif des principales variétés de français.
3. Répertoire critique des bonnes pratiques d’enseignement/apprentissage recourant aux variétés de français.
4. Recommandations sur les usages raisonnés des variétés de français et des langues nationales dans l’enseignement/apprentissage du français par territoires ou par régions.
5. Tableau analytique des représentations associées à la langue française et à ses variétés.
6. Propositions de mécanismes de gouvernance concertée francophone du corpus.
VI. Calendrier
- 2 juillet 2019 : appel à manifestation d’intérêt en collaboration avec l’AUF.
- 1er septembre 2019 : choix du/des projet(s) retenu(s).
- 15 octobre 2019 : présentation du plan détaillé de l’étude (structure, territoires, types de variations, schéma des analyses qualitatives, champs d’observation retenus…)
- 15 février 2020 : remise du rapport intermédiaire.
- 20 mars 2020 : présentation et mise en débat des résultats avec les membres du Comité scientifique de l’Observatoire.
- 15 juin 2020 : remise du rapport final.
VII. Liste des pièces attendues
• Coordonnées, CV et bibliographie du ou des répondants
• Lettre personnelle d’engagement de chaque membre de l’équipe
• Lettre personnelle d’engagement du ou des coordonnateurs de l’équipe
• Description du plan de travail et du périmètre géographique et linguistique
• Présentation de la méthodologie (en distinguant le volet « enquêtes ») et des outils envisagés
• Présentation d’un calendrier détaillé des étapes de réalisation incluant les éventuelles réunions de suivi et missions et précisant le mode de restitution à l’OIF et à l’AUF
• Présentation du budget prévisionnel détaillé par poste de dépenses
• Coordonnées bancaires et statut juridique du bénéficiaire, coordonnateur principal.
VII. Candidatures
• Chercheur ou enseignant agissant à titre individuel en tant que personne physique
• Établissement d’enseignement supérieur ou organisme de recherche à but non lucratif
Selon la candidature retenue, il sera établi, soit un contrat d’expert conforme au barème en vigueur à l’OIF, soit un protocole d’accord de subvention.
Envoyer les propositions au plus tard le 16/08/2019 à minuit (heure de Paris) à
alexandre.wolff at francophonie.org<mailto:alexandre.wolff at francophonie.org>
francine.quemener at francophonie.org<mailto:francine.quemener at francophonie.org>
francais-langues at auf.org<mailto:francais-langues at auf.org>
N.B. : les propositions impliquant des chercheu-rs/ses issu(e)s de plusieurs pays seront favorisées.
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE
Amélie NADEAU
Responsable de projet
Direction Veille Innovation Expertise
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Montréal (Québec) H3T 1J7 Canada
Tél. : +1 514 343 6630 (poste 5098) | IP : 00 1 5098
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