[Liste-framonde] FRAMONDE — Brèves 27 octobre 2017

Amelie Nadeau amelie.nadeau at auf.org
Ven 27 Oct 10:56:19 EDT 2017


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APPEL À CANDIDATURES

Formation des formateurs sur la « Maîtrise des outils de recherche de l’information scientifique » à Bakou (Azerbaïdjan)

Date limite : 15 novembre 2017

L’AUF en Europe centrale et orientale et l’Université des Langues d’Azerbaïdjan organisent les 6 et 8 décembre 2017 un atelier de formation sur « La maîtrise des outils de recherche de l’information scientifique » à destination des enseignants de français des Facultés de Français, de Traduction et de Relations internationales.

L’AUF recherche un formateur universitaire spécialisé capable de prendre en charge un groupe d’environ 15-20 enseignants et de les accompagner dans la création de leurs cours de français à l’aide des outils numériques.

L’AUF en Europe centrale et orientale et l’Université des Langues d’Azerbaïdjan organisent les 6 et 8 décembre 2017 un atelier de formation sur « La maîtrise des outils de recherche de l’information scientifique » à destination des enseignants de français des Facultés de Français, de Traduction et de Relations internationales.

L’AUF recherche un formateur universitaire spécialisé capable de prendre en charge un groupe d’environ 15-20 enseignants et de les accompagner dans la création de leurs cours de français à l’aide des outils numériques.

Durée de la formation
20 heures de formation réparties sur 3 jours.

Public cible
Enseignants de l’Université des Langues d’Azerbaïdjan.

Prise en charge du formateur
L’AUF prend en charge les frais de déplacement et de séjour et la rémunération du formateur selon les tarifs en vigueur à l’AUF.

Obligations du formateur
Le formateur s’engage :

  *   À préparer la session de formation ;
  *   À accompagner les auteurs de modules dans la conception de leurs cours ;
  *   À exécuter l’intégralité de la formation et l’accompagnement ;
  *   À rédiger un support de cours qui sera remis aux stagiaires ;
  *   À remettre un rapport de formation à l’issue de la formation.

Modalités de dépôt des candidatures
Les candidats doivent fournir :

  *   Un curriculum vitae
  *   La proposition de contenu de formation

Date limite de candidature
Ces documents sont à adresser avant le 15 novembre 2017 par courriel à  :
Mme Liliana LUPUSOR, liliana.lupusor at auf.org<mailto:liliana.lupusor at auf.org> et à Mme Jala SALMANOVA, jala_87 at yahoo.fr<mailto:jala_87 at yahoo.fr>


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APPEL À CANDIDATURES

Poste en Théories critiques et littératures françaises dans le contexte contemporain
Département d’études françaises, Université Queen’s (Canada)

Date limite : 24 novembre 2017

Le Département d’études françaises de l’Université Queen’s sollicite des candidatures pour un poste menant à la permanence au rang de professeure, professeur adjoint en Théories critiques et littératures françaises dans le contexte contemporain. La date d’entrée en fonction souhaitée est le 1er juillet 2018.
La candidate, le candidat doit avoir une excellente connaissance des enjeux actuels dans le domaine des littératures contemporaines, en particulier française, et des écrits théoriques rattachés à ces enjeux. La candidate, le candidat retenu aura une excellente compétence en théorie et critique littéraires ainsi qu’une solide expérience de l’enseignement du français langue seconde. Des réalisations en recherche dans l’un ou plusieurs des champs suivants seront un atout :

• Droit et littérature
• Études numériques et autres développements en histoire du livre
• Littératures Queer et questions du genre

Toute personne désirant poser sa candidature devra être détentrice d’un doctorat ou détentrice d’un diplôme ou d’expériences équivalentes avant l’entrée en fonction. Le critère de sélection principal est l’excellence du potentiel de recherche et d’enseignement. La candidate, le candidat retenu aura fait la preuve de la grande qualité de sa production savante, et démontré un potentiel de recherche pouvant mener à des publications avec comité de lecture et à l’obtention de subventions externes. Elle ou il aura aussi démontré le potentiel d’exceller en enseignement, aussi bien au 1er cycle qu’aux cycles supérieurs, et démontré son engagement envers l’excellence pédagogique et le maintien de programmes de qualité. Les candidates et les candidats devront faire la preuve de leur aptitude à collaborer dans un milieu académique interdisciplinaire et centré sur les étudiantes et les étudiants. On s’attend, de la part de la candidate, du candidat retenu à une contribution substantielle, en termes de service, à l’échelle du département, de la faculté, de l’Université et de la collectivité dans son ensemble. Le salaire sera déterminé en fonction des qualifications et de l’expérience de la candidate, du candidat retenu.
L’Université Queen’s sollicite la candidature de tout individu qualifié. L’Université souscrit aux principes de l’équité et de la diversité au travail : les femmes, les membres de minorités visibles, les membres d’un groupe autochtone, les personnes handicapées et les personnes LGBTQ sont encouragés à soumettre leur candidature. La priorité sera accordée aux citoyens canadiens et aux résidents permanents du Canada.

Pour se conformer aux lois fédérales, l’Université doit récolter des renseignements statistiques sur le nombre de candidates, de candidats qui seraient canadiens/résidentes, résidents permanents du Canada pour tout poste qu’elle affiche. Les candidates, les candidats n’ont pas besoin d’identifier leur pays d’origine ni leur citoyenneté. Par contre, toute candidature doit inclure l’une ou l’autre des affirmations suivantes : « Je suis citoyenne, citoyen canadien / résidente, résident permanent du Canada »; ou, « Je ne suis pas citoyenne, citoyen canadien / résidente, résident permanent du Canada ». Les candidatures ne comprenant pas ces informations seront considérées incomplètes.
Les dossiers de candidature devront comprendre :

• une lettre de présentation (comprenant l’une ou l’autre des deux affirmations au sujet du statut de citoyenneté canadienne/résidence permanente précisé dans le paragraphe précédent);
• un curriculum vitae (contenant une liste de publications, des bourses et des subventions reçues);
• une description des intérêts de recherche actuels et futurs;
• un dossier d’enseignement (incluant une philosophie d’enseignement, des exemples de plans de cours et les évaluations disponibles);
• trois lettres de recommandation envoyées directement à M. Stéphane Inkel à l’adresse suivante : inkels at queensu.ca<mailto:inkels at queensu.ca>;
• et jusqu’à deux exemples de travaux de recherche n’excédant pas 25 pages chacun.

La date limite pour l’envoi des candidatures est le 24 novembre 2017. Les documents seront préférablement acheminés par voie électronique en format PDF à M. Stéphane Inkel à l’adresse suivante : inkels at queensu.ca<mailto:inkels at queensu.ca>, ou par la poste à l’adresse suivante :

M. Stéphane Inkel, directeur intérimaire
Département d’études françaises,
300— Kingston Hall
103, Stuart Street,
Queen’s University
Kingston, Ontario
CANADA K7L 3N6

Toutes les mesures raisonnables seront prises pour fournir aux postulantes et aux postulants handicapés les accommodements nécessaires. Si vous avez besoin de tels accommodements pendant le processus d’entrevues, veuillez contacter Monique Dufresne au Département d’études françaises à l’adresse suivante : dufresne at queensu.ca<mailto:dufresne at queensu.ca>.
Les relations de travail avec le personnel enseignant de Queen’s University sont gérées par une convention collective entre l’Université et la Queen’s University Faculty Association (QUFA), affichée aux adresses suivantes :
http://queensu.ca/facultyrelations/faculty-librarians-and-archivists/collective-agreement http://www.qufa.ca<http://www.qufa.ca/>.


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APPEL À COMMUNICATION

Journée doctorale « Littérature(s) et culture(s) du/des Sud(s) : nouvelles perspectives »
Date : 23 février 2018
Lieu : Université de Lorraine, Metz (Ile du Saulcy), France
Organisée par : Rocío Munguía Aguilar et Laude Ngadi Maïssa

Date limite : 30 novembre 2017

Le centre de recherche « Écritures » (EA 3943) de l’Université de Lorraine, le « Centre d’Études sur les Représentations : Idées, esthétique, Littérature » (EA 1337, « Configurations littéraires ») de l’Université de Strasbourg et l’unité mixte « Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité » (THALIM, UMR 7172) de l’Université Sorbonne Nouvelle — Paris 3 organisent une journée doctorale consacrée aux recherches dans le domaine des Littératures et des cultures des Suds (Caraïbes, Maghreb, Afrique subsaharienne, Océan Indien…).

Disciplines concernées : lettres et sciences humaines. Toutefois, cette journée étant associée à un séminaire doctoral consacré à l’interculturalité, organisé par l’ED Fernand Braudel à Metz le lendemain 24 février, cette dimension intéressera particulièrement les organisateurs.

Cette journée a pour objectif de permettre aux doctorants en fin de thèse et aux jeunes docteurs de présenter des résultats de recherche inédits. Le comité privilégiera les travaux innovants. Possibilité de publication ultérieure sur proposition du comité scientifique.

Les propositions de communications (20 minutes max.) – comprenant le titre de la thèse, le nom du/des directeur(s) de recherche, l’/les universités d’appartenance, la date de la première inscription doctorale et, le cas échéant, de la soutenance, un résumé de 300 mots (hors bibliographie) – sont à adresser avant le 30 novembre 2017 aux deux adresses suivantes : laudengadi at gmail.com ; rocio.munguia.a at gmail.com
L’hébergement et les repas sont pris en charge par les équipes organisatrices.

Comité scientifique
Xavier Garnier (Professeur, Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3)
Pierre Halen (Professeur, Université de Lorraine)
Anthony Mangeon (Professeur, Université de Strasbourg)
Dominique Ranaivoson (Maître de Conférences HDR, Université de Lorraine)


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APPEL À COMMUNICATION

Colloque 2018 de la SIHFLES
L’exercice dans l’histoire de l’enseignement des langues
17 et 18 mai 2018, Mons (Belgique)

Date limite : 1er décembre 2017

Argumentaire
L’exercice constitue aujourd’hui une composante obligée de l’apprentissage d’une langue étrangère, quels que soient par ailleurs les publics concernés, scolaires, universitaires ou publics d’adultes. Les éditeurs ne manquent pas de publier de nombreux recueils d’exercices et nulle méthode n’est publiée qui ne comporte à un moment ou à un autre des exercices.
L’intensité de la pratique fonde l’évidence du procédé et conduit à oublier que l’exercice est une construction pédagogique d’origine relativement récente dont il serait intéressant de connaître la genèse. Création d’autant plus paradoxale, aux yeux de l’observateur d’aujourd’hui, qu’elle est postérieure aux très nombreuses descriptions du français qui sont proposées dès le xvie siècle. Nombreuses sont en effet les grammaires publiées du xvie au xviiie siècle, qu’elles soient savantes ou pédagogiques, qui ne comprennent aucune partie que l’on pourrait qualifier d’activités de systématisation, au moins sous la forme d’exercice.
L’exercice est donc apparu progressivement, sous des formes certainement éloignées de celles que nous connaissons aujourd’hui, la forme orale ayant pu précéder la forme écrite et sans qu’un inventeur particulier puisse être désigné (même s’il est intéressant de noter que J.-V. Meidinger, dans le dernier quart du xviiie siècle, est peut-être l’un des premiers à faire figurer dans sa grammaire des activités de systématisation assez similaires à ce qui est traditionnellement rangé aujourd’hui sous l’étiquette d’« exercices »). L’exercice est une invention collective qui prend place dans un besoin de systématisation ressenti par un certain nombre de maîtres de langue et d’auteurs de colloques (ainsi on peut retrouver dans certains dialogues élaborés par Berlaimont au xvie siècle des reprises qui ressemblent fort à des activités de variation).
La généralisation de l’enseignement des langues vivantes étrangères dans l’enseignement secondaire européen dans les débuts du xixe siècle est certainement pour beaucoup dans la recherche d’activités de systématisation, les langues ne pouvant plus être enseignées sur le mode préceptoral qui autorisait des approches plus ouvertes, plus réflexives aussi, proches parfois de ce que l’on a appelé aussi la méthode naturelle.
On connaît l’usage que l’on fait, toujours dans cette même période, des cacographies ou cacologies pour aborder l’enseignement de l’orthographe et du « bien écrire », en France, usage que l’on retrouve dans l’enseignement des langues étrangères, notamment en Espagne et dans les Pays-Bas. Mais A. Chervel signale aussi dans des manuels édités en Angleterre et aux États-Unis dans la fin du xviiie siècle des exercices de « bad English » ou de « false English ».
Bref les questions que l’on peut se poser sont très nombreuses, d’autant plus que systématisation et exercices demanderaient certainement à être plus clairement distingués. Les tableaux de langue apparaissent très précocement, souvent transposés du latin, ce qui ne manque pas de poser des problèmes de cohérence dans la description (le français devient ainsi une langue à déclinaisons), mais qui témoignent d’un besoin de mise en ordre qui s’adresse aussi à des apprenants.
Si les travaux se rapportant à l’histoire de la grammaire sont très nombreux (la SIHFLES s’y est consacrée à de très nombreuses reprises, notamment avec le colloque de Raguse, sa contribution au colloque de la SHESL de 2011), peu de recherches en revanche portent sur cet objet d’apprentissage qui, dans la modestie de sa forme, n’en pose pas moins de très nombreux problèmes théoriques, aussi bien dans la référence, implicite, à un certain nombre de descriptions grammaticales, que dans une certaine conception de l’apprentissage. De nombreux points de problématisation sont à envisager :

  *   les premières tentatives : où, quand, par quels auteurs, dans quel environnement d’apprentissage ?
  *   les rapports entre grammaires savantes et exercices et plus globalement les liens entre la « grammatisation » des vernaculaires et la progressive émergence d’activités d’assimilation de ces descriptions nouvelles ;
  *   les formes élaborées, dans la diversité des propositions et leur évolution ; la place dans le dispositif d’apprentissage, le « moment » pédagogique ;
  *   les domaines couverts ; la morphologie a certainement constitué – et aujourd’hui encore – un champ préférentiel d’exploration au détriment de l’axe syntagmatique ; la prise en charge de l’enseignement de la prononciation par l’exercice (avant et après la constitution de la phonétique en domaine scientifique reconnu dans les débuts du xxe siècle) ;
  *   la relation à la langue des élèves (exercices de traduction par exemple). Mais se pose aussi la question des grammaires contrastives et des grammaires plurilingues. Autorisent-elles le recours à ce procédé d’apprentissage ou l’exercice est-il lié à l’apprentissage d’une seule langue étrangère ?
  *   les lieux d’émergences de la procédure de l’exercice (pratiques individuelles, institutions scolaires, etc.), migrations et circulations des exercices (celles de l’exercice structural sont bien connues, mais méritent d’être rappelées et analysées) ; entre « français langue maternelle » et « français langue étrangère », entre langues étrangères elles-mêmes, entre latin et langues vulgaires ;
  *   les moments de diffusion, dans la perspective d’une chronologie comparée.
  *   le lien entre domaines méthodologiques et formes de la systématisation et de l’exercice (ainsi, la méthode directe a-t-elle donné naissance à de nouvelles familles d’exercice par exemple ?), y compris dans les apprentissages autodidactes.

Ces questions intéressent évidemment les historiens de l’enseignement des langues en ce qu’elles contribuent à mieux comprendre et connaitre leur discipline, à mieux en cerner les évolutions et la dynamique ; elles sont aussi utiles aux agents et utilisateurs de la didactique des langues étrangères – didacticiens, auteurs de manuels, enseignants, élèves…bref aux « fabricants et consommateurs d’exercices » d’aujourd’hui – en leur donnant la possibilité d’appréhender une « technique » dans sa durée et ainsi mieux en comprendre la dimension construite et faussement évidente.

Calendrier

  *   Dates du colloque : le jeudi 17 et le vendredi 18 mai 2018.
  *   Lieu : université de Mons – Faculté de traduction et d’interprétation – avenue du Champ de Mars, 17 – 7000 MONS (Belgique).
  *   Date limite d’envoi des propositions : 1er décembre 2017.
  *   Réponses du Comité scientifique : 15 janvier 2018.

Modalités de soumission des propositions
Les propositions de communication, en français ou en anglais, ne dépasseront pas 500 mots, bibliographie (5 références max.) et mots-clefs (5 mots) compris. Elles sont à adresser à :

  *   michel.berre at umons.ac.be<mailto:michel.berre at umons.ac.be>
  *   g.vigner at noos.fr<mailto:g.vigner at noos.fr>

Elles seront accompagnées du nom de l’auteur et de l’établissement d’enseignement et/ou de recherche auquel il est rattaché.

Communications
Les organisateurs s’efforceront d’éviter les sessions en parallèle. Durée des communications : 20 minutes + 5/10 minutes de questions/réponses. La langue du colloque est le français, les interventions peuvent se faire en français ou en anglais.

Inscription
Les frais d’inscription couvrent les pause-café, deux repas de midi ainsi que la réception des documents relatifs au colloque (programme, badge, attestation, etc.)

  *   Membres SIHFLES et des institutions partenaires : 60,00€
  *   Autres : 70,00€
  *   Doctorants : 20,00€

Lien vers le formulaire d’inscription et de paiement en ligne<http://extension.umons.ac.be/evenement-51-sihfles2018.html?flang=FR>

Repas
Les déjeuners se prennent au restaurant de l’université de Mons (plaine de Nimy). Un diner de gala est organisé le jeudi 17 mai en soirée au Mundaneum (cf. activités culturelles).

Activités culturelles
Le jeudi 17 mai une visite du Mundaneum est organisée à partir de 18h ; elle comprend la découverte du lieu (www.mundaneum.org<http://www.mundaneum.org/>), la présentation de ses concepteurs Paul Otlet (1868-1944) et Henri Lafontaine (1854-1943), fondateurs de l’Institut international de bibliographie (1895) et du système de classification décimale universelle (CDU). Un parcours guidé de l’exposition temporaire consacrée à l’histoire de la cryptographie (De Jules César à Edward Snowden, ou comment décoder la cryptographie – http://archives.mundaneum.org/fr/expositions/top-secret-xpo) est également proposé.
Durant le colloque, la Bibliothèque centrale de l’université de Mons propose également une présentation des grammaires de la langue française de ses fonds anciens et de son fonds de l’enseignement. Le jour et l’horaire de cette manifestation seront précisés ultérieurement (de même pour les modalités d’inscription).

Informations pratiques

  *   Se loger à Mons<https://portail.umons.ac.be/FR/universite/admin/cerp/congres_colloques/Documents/SHIFLES_2_Lgmnt_FRetUK.pdf>
  *   Se rendre à Mons<https://portail.umons.ac.be/FR/universite/admin/cerp/congres_colloques/Documents/SIHFLES_3_Venue.pdf>

  *   Sur la carte<https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1af7YRiv0OxeYKvTe2FI8oCaJ0ZQ&usp=sharing>
  *   Visiter Mons<http://www.visitmons.be/>

 Comité d’organisation

  *   Michel Berré (université de Mons)
  *   Elisabeth Castadot (université de Mons)
  *   Mylena Piccinelli (université de Mons)
  *   Barbara Radomme (université de Mons)
  *   Gérard Vigner (inspecteur d’académie, Éducation nationale, France)

Comité scientifique

  *   Michel Berré (université de Mons)
  *   Henri Besse (ENS de Lyon)
  *   Claude Cortier (université de Lyon)
  *   Marc Demeuse (université de Mons)
  *   Piet Desmet (Katholieke universiteit Leuven – Kortrijk)
  *   Danièle Flament-Boistrancourt (Université Paris-Nanterre)
  *   Aline Gohard Radenkovic (université de Fribourg, Suisse)
  *   Bernard Harmegnies (université de Mons)
  *   Gerda Hassler (université de Potsdam)
  *   Gisèle Kahn (ENS de Lyon)
  *   Marie-Christine Kok Escalle (université d’Utrecht)
  *   Brigitte Lépinette (université de Valence)
  *   Jacqueline Lillo (université de Palerme)
  *   Nadia Minerva (université de Catane)
  *   Danielle Omer (université du Maine)
  *   Despina Provata (université d’Athènes)
  *   Marcus Reinfried (université Friedrich-Schiller de Iéna)
  *   Karène Sanchez (université de Leyde)
  *   Ana Clara Santos (université d’Algarve)
  *   Javier Suso López (université de Grenade)
  *   Pierre Swiggers (université de Liège et Katholieke universiteit Leuven)
  *   Dan Van Raemdonck (université libre de Bruxelles)
  *   Gérard Vigner (inspecteur d’académie, Éducation nationale, France)
  *   Josette A. Virasolvit (université de Bourgogne).


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Amélie NADEAU
Responsable de projet
Direction Veille Innovation Expertise

3034, boul. Édouard-Montpetit
Montréal (Québec) H3T 1J7 Canada
Tél. : +1 514 343 6630 (poste 5098) | IP : 00 1 5098
www.auf.org<http://www.auf.org/>

[AUF]<https://www.auf.org/>

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