[Liste-framonde] FRAMONDE - Brèves 6 juillet 2017

Amélie Nadeau amelie.nadeau at auf.org
Jeu 6 Juil 11:28:46 EDT 2017


*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE 
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO**NDE

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**APPEL À COMMINICATIONS**
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**Congrès international**
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**TRANSLATA III**
**" La traductologie, qu'est-ce que c'est ? Quelle est sa mission ? "**
**Institut de Traductologie (INTRAWI) de l'Université d'Innsbruck**
**7-9 décembre 2017**
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*/*Date limite: 15 juillet 2017*/

*Site internet*
Allemand : https://www.uibk.ac.at/translation/translata-2017/
Anglais : https://www.uibk.ac.at/translation/translata-2017/index.html.en

TRANSLATA est organisé tous les trois ans et fait partie des plus grands 
congrès en traductologie. Sa troisième édition aura lieu en 2017 et pose 
à ses participant(e)s la question " La traductologie, qu'est-ce que 
c'est ? Quelle est sa mission ? " (titre original : „ Was ist und was 
soll Translationswissenschaft? “). Elle se veut un forum de discussion 
et d'échange pour tous ceux dont le travail s'inscrit dans le cadre de 
la traductologie, soit en théorie, en pratique, en didactique ou bien 
dans le cadre d'une activité professionnelle et commerciale. Elle permet 
d’aborder dans une discussion ouverte les questions et problèmes actuels 
de la traductologie à tous les niveaux, dans tous ses domaines et dans 
le cadre d'une réflexion scientifique. En partant de la question clé 
posée en 2017 et mentionnée en haut, Translata III s'organise autour de 
différentes thématiques :

     la théorie de la traductologie et l’analyse du processus de la 
traduction/de l'interprétariat (ainsi que nouvelles approches de 
recherche, par exemple des approches quantitatives ou empiriques, basées 
sur des statistiques, etc.)
     les approches interdisciplinaires de recherche en traductologie
     les nouvelles approches linguistiques (linguistique informatique, 
linguistique des corpus, modèles probabilistes, etc.) et la traductologie
     la compétence des traducteurs et des interprètes
     la notion de qualité et la critique en traductologie
     la didactique en traductologie
     le marché et la vie professionnelle : nouvelles évolutions et leurs 
conséquences pour la formation
     la traduction technique et la terminologie
     la traduction automatique
     la traductologie et les humanités numériques
     la localisation et la traduction de sites web
     les nouvelles technologies en traduction / interprétariat
     la traduction littéraire
     la traduction audiovisuelle, la traduction de films
     l'interprétariat de conférence (sim/cons)
     l'interprétariat communautaire
     etc.

*Propositions*
Les propositions (300 mots sans références) sont à déposer en ligne sur 
www.translata.info/registration

*Interventions*
Les interventions dureront 20 minutes chacune et seront suivies de 
discussions de 10 minutes.

*Langues de travail*
Langue principale : allemand
Autres langues admises : français, anglais, espagnol, italien, russe

*Publication*
Les articles issus du colloque, sous réserve d’acceptation par le comité 
scientifique, feront l’objet d’une publication.

*Calendrier*
Date limite de soumission : 15 juillet 2017
Notification aux intervenant(e)s : 31 juillet 2017

*Frais de participation*
Jusqu’au 31 août 2017 : 80 euros
Jusqu’au 31 octobre 2017 : 100 euros
Pour les étudiants/doctorant(e)s : 50 euros

Les frais de participation comprennent de la documentation (programme, 
liste des participants, catalogue des propositions), une petite 
restauration pendant les pauses (café, thé, jus de fruit, biscuits), une 
visite guidée de la ville, etc.

*Conférencières/-ers invité(e)s*
Prof. Michaela Albl-Mikasa:
„A changing profession and emerging subdiscipline. Interpreting and 
Translation and the impact of English as a lingua franca (ELF)"

Prof. Anette Djurovic:
„Qualitätsoptimierung mit Partikeln – grammatische und pragmatische 
Aspekte des Audiovisuellen Übersetzens“

Prof. Pius ten Hacken:
„Language and Translation“

PD Dr. phil. habil. Holger Siever:
„Ein Vorschlag für eine komplexe Translationstheorie“

Prof. emeritus Lew N. Zybatow:
„Was ist und was soll Translationswissenschaft und wofür steht die 
Konferenz TRANSLATA?“

*Comité scientifique*
Section internationale : les noms des membres seront communiqués d'ici peu.
Section Innsbruck : Erica Autelli, Maria Koliopoulou, Martina Mayer, 
Alena Petrova, Peter Sandrini, Astrid Schmidhofer,  Andy Stauder, Pius 
ten Hacken, Michael Ustaszewski, Katharina Walter, Lew Zybatow

*Comité d'organisation*
Daria Fuchshuber-Weber, Lisa Lanthaler, Annabell Marinell, Alena 
Petrova, Sandra Reiter, Peter Sandrini, Andreas Schumacher, Beate 
Steinhauser


*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE 
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO**NDE*

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**APPEL A COMMUNICATION / CALL FOR COMMUNICATION**
**Colloque international Education à la mobilité**
**23-24 novembre 2017, ESPE de Caen, Université de Caen Normandie**
**Organisation : Magali Jeannin, Anne-Laure Le Guern, Elisabeth Schneider**
**
*/*Date limite: 20 juillet 2017*/

*Comité scientifique *
Pablo Buznic-Bourgeacq, Université de Caen Normandie, ESPE
Cathy Cohen, Université de Lyon 1
Sandrine Depeau, CNRS, ESO
Nadia Edmond, Université de Brighton
Jean-François Grassin, Université de Lyon 1
Nicolas Guichon, Université de Lyon 1
Magali Jeannin,  Université de Caen Normandie,
Magali Hardouin, Université de Rennes 2, ESPE
Isabelle Harlé, Université de Caen Normandie, ESPE
Stéphanie Gasse, Université de Rouen
Anne-Laure Le Guern, Université de Caen Normandie, ESPE
Xavier Michel, Université de Caen Normandie, ESPE
Florian Ouitre, Université de Caen Normandie, ESPE,
Elise Ouvrard, Université de Caen Normandie, ESPE
Ana Pinho, Universidade de Lisboa
Silvia Melo-Pfeifer, Université de Hambourg
Cédric Sarré, Université de Paris Sorbonne, ESPE de Paris,
Élisabeth Schneider, Université de Caen Normandie, ESPE
Jean-François Thémines, Université de Caen-Normandie, ESPE
Shona Whyte, Université de Nice Sophia Antipolis

*Comité d’organisation *
Sonia Clouet, Université de Caen, ESPE
Cécile Dufy, Université de Caen, ESPE
Magali Jeannin, Université de Caen, ESPE
Anne-Laure Le Guern, Université de Caen, ESPE
Julia Midelet, Université de Caen, ESPE
Florian Ouitre, Université de Caen, ESPE
Elise Ouvrard, Université de Caen, ESPE
Christophe Pavie, Université de Caen, ESPE
Elisabeth Schneider, Université de Caen, ESPE
Olivier Sérazin, Université de Caen, ESPE

Dans le contexte actuel marqué par l’intensification des échanges et des 
mouvements migratoires comme par « l’incertitude croissante et la 
fluidité des identités contemporaines » (Gohard-Radenkovic, 
Murphy-Lejeune, 2008, 127), le concept de mobilité est fréquemment 
convoqué comme l’un des paradigmes de notre « hypermodernité » (Aubert, 
2004), et s’inscrit dans des problématiques complexes et parfois 
contradictoires, lui conférant une dimension polymorphe et polytopique 
(Stock, 2006). Ainsi à la mobilité physique et géographique vient se 
superposer une mobilité envisagée en termes de métaphores et de 
processus (Urry, 2005), qui se manifestent notamment par un brouillage 
des distinctions entre intérieur (village, classe, région) et extérieur 
(étranger, barbare), proche et lointain (Viard, 2006). La mobilité est 
par conséquent un concept fréquemment convoqué pour penser 
l’inclusion/exclusion dans ce qu’on pourrait nommer l’ « espace 
culturel », et ce à différentes échelles. Par ailleurs le non-accès à la 
mobilité, ou sa restriction, constitue un marqueur d’inégalité sociale 
(Marzloff, 2005). Le lien entre mobilité sociale, exprimant le 
changement, et spatiale, exprimant le déplacement (Gallez, Kaufmann, 
2009), laisse apparaître une forme de hiérarchie des mobilités : la non 
reconnaissance des apprentissages par la mobilité de certaines 
populations se voit opposer la valorisation des apprentissages à la 
mobilité (Brougère et Fabbiano, 2014).
En contexte éducatif, « éducation, formation et production se 
confondent : à la fonction de socialisation par le biais de 
l’institution scolaire et universitaire s’ajoute celle de l’acquisition 
de savoirs transversaux (mobilité, flexibilité, adaptabilité) et de 
compétences devenues indispensables sur le marché du travail »  (Erlich, 
2012 : 56). Parallèlement on observe une diversification des mobilités 
(p.e  mobilité circulaire type Erasmus vs mobilité linéaire), qui se 
déclinent même en « hypermobilités » lorsqu’elles revêtent une dimension 
multimodale, notamment numérique, avec la démocratisation de l’accès à 
la fois physique et virtuel à l’ailleurs.  La circulation permanente et 
l’instantanéité de l’information et de toutes formes de savoirs 
inaugurent alors la multiplication des possibles en termes d’échange, de 
partage, dans un contexte d’appropriation démocratique favorisé par les 
outils numériques, inscrivant l’individu dans une dynamique 
d’interactions en constante évolution processuelle (Vitali-Rosati, 
2016). La mobilité apparaît ainsi comme un paradigme ouvrant à de 
nouvelles formes de liberté et de redéploiement de l’individu (cf l’ 
« éloge de la mobilité » selon Jean Viard).
Néanmoins il convient de rappeler sa  configuration problématique (Ortar 
et Lejoux, 2017). Ainsi Zygmunt Bauman (2006) définit  la mobilité comme 
concept phare de la « vie moderne liquide », caractérisée par une 
injonction accrue au déplacement, à la vitesse, dans un contexte 
d’obsolescence quasi immédiate des objets et des expériences. Dans ce 
contexte, l’individu « hypermoderne » (Aubert, 2004) est engagé dans une 
course à la performance dans la mobilité, qui structure son identité, 
elle-même devenue « liquide », mouvante, en constante recomposition. Par 
ailleurs l’accroissement des mouvements de population (immigration 
économique, réfugiés…) et l’externalisation des conflits conduisent au 
développement d’attitudes de repli : les sujets hypermodernes sont 
autant d’individus assiégés dans une société elle-même assiégée (Bauman, 
2002) : société de la frontière dans un monde plein où « nous sommes 
tous des gens de l’intérieur, des résidents permanents qui n’ont nulle 
part ailleurs où aller » (24). Ainsi en contexte professionnel, le 
partage –réel et symbolique– des espaces, des temporalités, des modes et 
des champs d’action est souvent vécu comme une intrusion voire une 
effraction. Dans cette perspective, nombre d’analyses des contextes 
d’hypermobilité ouvrent sur des constats d’hypomobilité (Dervin, 2008, 
Anquetil, 2006, Abdallah-Pretceille, 2008, Erlich, 2012)  voire des 
revendications de droit à l’immobilité (Hardouin et Moro, 2014 : 77) qui 
ne sont donc qu’apparemment paradoxaux.

Néanmoins ces écueils de la mobilité –hypermobilité, accès non 
démocratique, repli, hypomobilité– sont-ils directement imputables à 
notre contexte contemporain ? Ne ressortissent-ils pas d’une 
problématique transhistorique ? Rappelons ainsi ces lignes de Sénèque 
dans la fameuse lettre XXVIII à Lucilius : Hoc tibi soli putas accidisse 
et admiraris quasi rem novam, quod peregrinatione tam longa et tot 
locorum varietatibus non discussisti tristitia gravitatemque mentis ? 
Animum debes mutare, non caelum. […] Quid terrarum iuvare novitas 
potest ? Quid cognitio urbium aut locorum ? Quaris quare te fuga ista 
non adiuvet ? Tecum fugis. Onus animi deponendum est : non ante tibi 
ullus placebit locus.  Si voyager n’est pas forcément guérir son âme, 
c’est notamment parce que le sujet ne s’est pas questionné sur son 
implication intrinsèque dans le processus de mobilité, qui implique la 
mise à distance d’avec soi-même : expérience fondamentale de 
décentration qui permet de se découvrir « soi-même comme un autre » 
(Ricoeur, 1990), et renvoie ainsi l’expérience de mobilité dans le champ 
de l’altérité. Ainsi le concept de mobilité doit également être saisi 
dans toute sa dimension fondamentalement anthropologique. François 
Laplantine (1999 : 81) rappelle ainsi la mobilité ontologique de 
l’identité et du sujet, et défend « la pluralité de soi. […] “Si je peux 
comprendre les autres c’est parce que je suis autre que moi ”. […] Si 
l’homme est sans cesse différent de lui-même et non point adéquation et 
fermeture, c’est parce que tout dans le monde est mouvement, changement, 
instabilité, variation et multiplication ». Les êtres et les choses 
apparaissent ainsi ontologiquement mouvants et processuels.
Alors qu’aujourd’hui s’exacerbent les tensions et assignations 
identitaires, le défi actuel lancé aux acteurs éducatifs consiste  à 
investir le concept de mobilité dans toute sa complexité –conjointement 
paradigme contemporain d’une société dite hypermoderne et invariant 
anthropologique– pour en faire le support du développement d’une 
citoyenneté active, inclure et travailler les principes civiques 
d’égalité, de liberté et de solidarité, afin d’équilibrer un paradigme 
de la mobilité qui reflète en partie une approche individualiste.
Quelles sont les perspectives et les démarches d’éducation à la mobilité 
pour tou.te.s  (Ballatore, 2010) ? Dans quelle mesure la question du 
droit à la mobilité est-elle travaillée ?
Quels dispositifs permettent de décloisonner les cadres de l’éducation 
formelle, non-formelle et informelle pour concevoir une éducation à la 
mobilité globale, intégrant les pratiques de mobilité dans les 
différents temps de la vie, notamment le temps de l’école ou celui des 
études et le temps des loisirs ? Au-delà des temps de l’enfance et de la 
jeunesse, quelle éducation à la mobilité existe tout au long de la vie ?
Si les prescriptions institutionnelles tant nationales 
qu’internationales posent la nécessité de la mise en œuvre d’une 
didactique de l’altérité, il semble essentiel d’envisager les enjeux et 
moyens d’une approche englobante et volontariste : une Education à la 
mobilité de tous les acteurs éducatifs, aussi bien les « éduqué.e.s » 
que les « éducateurs/éducatrices », eux-mêmes co-acteurs et co-actrices 
de la mobilité (Gohard-Radenkovic, 2009). C’est aujourd’hui un champ qui 
reste à construire, nécessitant « de nouvelles intersections, 
pluridisciplinaires » (Gohard-Radenkovic, Murphy-Lejeune, 2008, 134), et 
des outils spécifiques permettant de s’approprier les enjeux tant 
philosophiques que socio-anthropologiques et sociétaux de la mobilité. 
En effet, les enjeux d’une Education à la mobilité sont étroitement 
articulés au développement de compétences socioculturelles et à 
l’indispensable prise en charge de la complexité de l’expérience de 
l’altérité, à toutes les échelles éducatives, spatiales et multimodales. 
Dans ce contexte, l’Education à la mobilité s’envisage donc comme une 
approche interdisciplinaire, à la croisée des champs d’autres 
« Educations à », et notamment –mais non exclusivement– l’Education aux 
médias. Ce colloque « Education à la mobilité » se propose donc 
d’explorer les enjeux et moyens d’une éducation à la mobilité à toutes 
les échelles du système éducatif –de l’école primaire à l’université–, 
et en direction de tous ses acteurs, aussi bien dans le cadre de 
l’éducation formelle que non formelle et informelle  : interroger les 
fondements mêmes du concept de mobilité et leur articulation à une mise 
en œuvre didactique ; analyser des outils et expérimentations et leur 
efficience dans tous les champs et contextes éducatifs ; interroger les 
effets et enjeux de l’Education à la mobilité sur les identités 
professionnelles et les professionnalités en contextes éducatifs ; 
articuler didactique de la mobilité et didactique de l’altérité ; 
envisager l’Education à la mobilité en contexte pluri et multiculturels.

*Les langues du colloque sont le français et l’anglais. Les propositions 
devront s’inscrire dans un des 4 axes ci-dessous :*

1.    Pour une épistémologie de la mobilité en contextes d’éducation 
formelle, informelle et non formelle : polytopie de la mobilité, 
mobilité sociale -mobilité spatiale-mobilité virtuelle, mobilité - 
motilité, mobilité culturelle - mobilité physique, liberté et mobilité

2.    Expériences et défis des mobilités professionnelles, scolaires et 
universitaires : cadrages institutionnels, accompagnement/encadrement 
des mobilités, outils et ressources (incluant le numérique), 
méthodologies d’investigation et d'outillage de la mobilité (carnets de 
voyage, blogs, photographies...) ;

3.    Mobilités et identités polymorphes des acteurs de la mobilité 
(éducateurs et éduqués) :
Situations de passage entre différents espaces, articulation des 
différents temps de la vie,  construction de parcours de mobilité de 
chacun.e,  articulation(s) aux didactiques disciplinaires, investigation 
de la réflexivité des acteurs dans les divers contextes d’éducation 
formelle, informelle, non formelle ;

4.    Mobilité et contextes pluri et multiculturels : didactique des 
langues et des cultures, compétences interculturelles, interculturalité 
du quotidien, identité et altérité linguistiques et culturelles.

Les propositions de communication, en français ou en anglais –environ 
500 mots– accompagnées d’une courte notice bio-bibliographique sont à 
renvoyer pour le 20 juillet 2017 aux adresses suivantes :

*Pour les propositions en français :*
-    magali.jeannin at unicaen.fr
-    anne-laure.leguern at unicaen.fr
-    elisabeth.schneider at unicaen.fr

*Pour les propositions en anglais :*
-    N.Edmond at brighton.ac.uk
-    magali.jeannin at unicaen.fr
-    elise.ouvrard at unicaen.fr

Retours des propositions : 10 septembre 2017
Une publication des actes du colloque est prévue, selon des modalités 
encore à préciser.


*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE 
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO**NDE*


*SONDAGE sur l'enseignement de la prononciation**
**Public enseignant-e-s de FLE et d'anglais dans le supérieur**
**
*/*Date limite: 30 juillet 2017*/

Cher.es collègues Enseignants de FLE du Monde Entier,

Vous donnez des cours de Français Langue Etrangère (FLE) à l'Université 
ou dans une Grande Ecole (Enseignement Supérieur) ?
Vous enseignez le français à des étudiants non-spécialistes de langues ?

Venez donner votre avis sur l'enseignement de la prononciation 
(questionnaire en ligne 8 à 10 min, anonyme, dans le cadre d'un projet 
de recherche en Didactique des Langues), pour ce faire, suivez ce lien : 
https://goo.gl/forms/N2i9KMb83yT88pKl1 (date limite : 30 Juillet 2017)

N'hésitez pas à participer et à partager le lien du questionnaire à tous 
vos réseaux d'enseignants de FLE dans l'enseignement supérieur (monde 
entier).

Merci pour votre participation !

Contact : Nadia Bacor nadia.bacor at gmail.com


*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE 
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO**NDE*

*
**APPEL À CANDIDATURES - RECRUTEMENT D’UN(E) POST-DOCTORANT(E)​**
**Centre de Recherches sur les Littératures et la Sociopoétique (CELIS 
EA 4280) et Centre d’Histoire « Espaces & Cultures » (CHEC) de 
l’Université Clermont-Auvergne**
**
*/*Date limite: 10 août 2017*/

Dans le cadre du projet structurant « Les poètes dans la cité en 
Révolution (1789-1848) », le Centre de Recherches sur les Littératures 
et la Sociopoétique (CELIS EA 4280) et le Centre d’Histoire « Espaces & 
Cultures » (CHEC) de l’Université Clermont-Auvergne recrutent pour un an 
– d’octobre 2017 à octobre 2018 - un(e) post-doctorant(e) âgé(e) de 
moins de 35 ans ayant soutenu sa thèse dans un pays autre que la France.

Inscrite dans une analyse globale des métamorphoses et des enjeux des 
genres poétiques en contexte révolutionnaire, la recherche menée par 
le/la post-doctorant(e) portera plus spécifiquement sur la production 
dramatique en lien avec la question de l’engagement à l’heure de la 
Révolution française et de l’Empire. Il s’agira d’étudier les 
répertoires militants, d’en mesurer le degré d’innovation esthétique et 
thématique, les succès obtenus (nombre de représentations, de reprises, 
de rééditions, création d’objets dérivés tels qu’estampes, caricatures, 
peintures, éventails, boutons de veste, etc.) ainsi que l’influence 
internationale (adaptations et traductions étrangères) entre 1789 et 
1804. Il faudra aborder la question de l’engagement des dramaturges 
révolutionnaires comme un phénomène complexe, qui tient à de multiples 
paramètres : trajectoires et positionnement politique des dramaturges, 
choix esthétiques et thématiques en lien avec les attentes du/des 
pouvoir(s) et des publics, nécessités matérielles de la vie quotidienne, 
interprètes et contexte des représentations, réactions de la censure et 
de la critique… C’est pourquoi le/la post-doctorant(e) devra proposer à 
la fois une typologie des modalités d’engagement des dramaturges en 
contexte révolutionnaire et une approche plus globale du phénomène de 
l’engagement dramatique, qui sera mise à l’épreuve dans des contextes 
postérieurs (1830, 1848 en Europe).

Cette démarche sera fondée sur la création et l’entretien d’une base de 
données. Le/la post-doctorant(e) en abondera les premiers développements 
à partir des résultats de l’enquête ANR THEREPSICORE (sur le théâtre en 
province sous la Révolution et l’Empire). Il/elle aura aussi pour 
mission de mener des enquêtes complémentaires à l’échelon français (BNF) 
et européen, pour mesurer, à partir des inventaires des fonds publics, 
la diffusion et l’influence des dramaturges français en Angleterre, en 
Italie, en Allemagne et en Suède – autant d’États ou de cours qui 
entretiennent des relations internationales contrastées avec la France 
révolutionnaire. Il/elle devra vérifier l’ampleur et le statut des 
traductions, des adaptations des œuvres françaises ou, au contraire, les 
influences européennes sur les répertoires militants. Il/elle 
contribuera enfin au choix et à l’édition de quelques textes qu’il/elle 
jugera emblématiques de sa problématique et de la diffusion réussie d’un 
théâtre engagé – pour ou contre la Révolution française.

Il est fortement souhaité que le le/la post-doctorant(e) puisse associer 
à une approche littéraire et historique une analyse musicale des 
morceaux chantés associés aux œuvres théâtrales de la période considérée.

Les candidatures sont à adresser avant le 10 août 2017 à Françoise Le 
Borgne (Francoise.Le_BORGNE at uca.fr) et à Philippe Bourdin 
(Philippe.BOURDIN at uca.fr). Les dossiers doivent comprendre les pièces 
suivantes :
- Un curriculum vitae (état civil, études et titres, activités 
d’enseignement, activités de recherche, publications et communications 
nationales et internationales),
- Une lettre de motivation du candidat,
- L’attestation d’obtention de la thèse,
- Une lettre de recommandation du directeur de son laboratoire d’origine 
ou de son directeur de thèse.

Entrée en fonctions : 1er octobre 2017.


*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE 
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO**NDE**

Site: http://framonde.auf.org/*
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