[Liste-framonde] FRAMONDE - Brèves 18 février 2013
Amélie Nadeau
amelie.nadeau at auf.org
Lun 18 Fév 15:14:44 EST 2013
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO
APPEL À CONTRIBUTIONS
Revue Pratiques n° 161-162 (juin 2014)
Quels apports de la recherche pour l'écriture en classe ?
/Date limite: fin février 2013/*
Au cours de ces dernières années, la place accordée par Pratiques aux
recherches en matière de production d'écrits, au niveau de la scolarité
obligatoire, est indéniablement moindre par rapport aux années
antérieures. Par exemple, sur les huit numéros doubles parus entre juin
2008 et décembre 2011, seul le numéro 143-144, Ecrits de savoirs,
présente un certain nombre d'articles en rapport avec cette thématique.
Même si, dans d'autres numéros, notamment ceux qui sont consacrés à la
didactique du français (145-146 et 149-150), un certain nombre de textes
traitent de la question, le moment est venu de proposer un numéro entier
qui soit, en quelque sorte, un état de l'art des recherches en ce qui
concerne la production d'écrits aujourd'hui.
Ce numéro comprendra trois axes.
Le premier axe sera consacré à l'acte même d'écriture. Il réunira
différentes contributions permettant de faire le point sur les
connaissances scientifiques en matière de production d'écrits dans
différents domaines disciplinaires : anthropologie de l'écriture,
génétique textuelle, littérature, linguistique et sémiotique, sociologie
de l'écriture et sociolinguistique, sciences cognitives... On se
souvient qu'A. Petitjean (2008), à l'occasion d'une réflexion sur les
transpositions didactiques liées à l'élaboration de la série de manuels
scolaires Maîtrise de l'écrit (1994-1997), passait en revue les champs
théoriques susceptibles de modéliser l'écriture en classe. Quinze années
se sont écoulées depuis. Quels sont les apports les plus récents,
relevant de ces différents champs, voire d'autres (nous pensons
notamment à ceux liés aux nouvelles technologies) qui éclairent
l'activité de production d'écrits ? Quelles sont les approches
pluridisciplinaires existantes ? Ces « savoirs savants » issus des
recherches en sciences humaines et sociales, en quoi ont--ils évolué
depuis et quels sont leurs apports possibles à la didactique de
l'écriture, selon quelles modalités ?
Le second axe s'intéressera à la modélisation didactique de l'acte
d'écriture. Il interrogera ce que Vanhulle (2006) appelle les « savoirs
transposés », c'est-à-dire « les savoirs des disciplines transformés en
savoirs scolaires et enseignés/appris par le truchement de
l'intervention didactique ». Le champ de l'intervention didactique
concerne, pour l'essentiel, quatre grands domaines : la recherche en
didactique, la formation des enseignants, les manuels scolaires et les
pratiques de classe.
En ce qui concerne la recherche en didactique de l'écriture, se pose
aujourd'hui la question des objets qu'elle privilégie. Par exemple,
qu'en est-il de la place qu'elle accorde à l'articulation entre
l'écriture en français et dans les autres disciplines ? Quelle place
occupe ce qui relève des nouvelles technologies dans la didactique de
l'écriture et, plus précisément, que proposent les travaux les plus
récents sur la question de la médiation technologique même et sur le
nouveau rapport à l'écriture qu'elle peut permettre de construire ? Les
pratiques d'écriture hors et dans l'école interagissent-elles dans ce
cadre ? Comment la didactique de l'écriture prend-elle en compte les
variations langagières écrites selon les situations et les pratiques des
élèves ? A propos du sujet scripteur, encore, comment la didactique de
l'écriture aborde-t-elle aujourd'hui la question de la révision du texte
dans la dynamique de l'écriture ?
A propos de la formation des enseignants, on peut se demander s'il
existe aujourd'hui des modèles didactiques dominants dans les discours
des formateurs : entre l'écriture en projet, en chantiers, préconisée
dans les années 1980 (avec le succès de Former des enfants producteurs
de textes et des productions du groupe EVA en formation des enseignants
du primaire par exemple), l'écriture littéraire (Tauveron), les écrits
intermédiaires Chabanne et Bucheton), où en est-on aujourd'hui ? Peut-on
avoir une idée des discours tenus par les formateurs en formation des
enseignants ? Quelle place l'écriture tient-elle dans les plans de
formation eux-mêmes ?
Pour les manuels scolaires, comment caractériser leur évolution dans la
place qu'ils font aux activités d'écriture, en diachronie depuis les
années 1980, en synchronie aujourd'hui ? Dans les objectifs qu'ils leur
assignent ? Dans les objets qu'ils leur donnent ? Ces questions se
posent tant pour les manuels du primaire que pour ceux de l'enseignement
secondaire.
Quant aux pratiques de classe, elles feront l'objet du troisième axe.
Le troisième et dernier axe réunira, en effet, des articles donnant des
exemples de recherches-actions ou de recherches descriptives liées aux
pratiques dans les classes. Par exemple, du point de vue des
expérimentations en classe ou des observations de pratiques ordinaires,
qu'en est-il aujourd'hui de la place et des modalités de l'écriture ?
Qu'en est-il des tâches d'écriture proposées, en français et dans les
autres matières ? Qu'en est-il de l'usage du brouillon ? De l'évaluation ?
Les questions posées dans les trois axes ne sont pas exhaustives mais
proposées à titre d'exemples des préoccupations des coordinatrices du
numéro.
*CALENDRIER :*
Les propositions (en 1 ou 2 pages) sont à envoyer pour fin février 2013.
Après acceptation du projet, les articles, soumis à une double
expertise, sont à envoyer avant fin décembre 2013.
Contacts (coordination du numéro) :
Anne Leclaire-Halté, CREM, UL anne.halte at orange.fr
Fabienne Rondelli, CREM, UL fabienne.rondelli at wanadoo.fr
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*APPEL À CONTRIBUTIONS
Nominalisations et corpus
/Verbum/, numéro spécial
Coordinatrices: Evelyne Jacquey & Marie Laurence Knittel
/Date limite: 4 mars 2013/*
Au carrefour de la morphologie, de la syntaxe et de la sémantique, les
nominalisations sont un thème de recherche fédérateur en linguistique.
Parmi les thématiques de recherche actuelles, on trouve, par exemple, la
question de l'héritage de la structure argumentale verbale par les noms
dits 'événementiels' (Grimshaw 1990, Alexiadou 2001, 2009), à l'origine
de la distinction entre lecture d'événement et lecture résultative.
L'héritage de la structure aspectuelle du verbe par la nominalisation
correspondante a également fait l'objet de travaux (e.g. Haas, Huyghe &
Marín 2008). Par ailleurs, la question de la validité de l'opposition
perfectif / imperfectif a également été soulevée (Iordachioaia & Soare
2009 sur le roumain ; Ferret, Soare & Villoing 2010 et Knittel 2011 pour
le français).
Les noms d'états sont également au coeur des préoccupations des
chercheurs. D'une part, la caractérisation des états dans le domaine
nominal semble reposer majoritairement sur le fait qu'ils répondent
négativement aux divers tests. Ceci soulève la question de savoir s'il
existe des tests positifs de caractérisation des états ; en outre,
doit-on considérer la classe des états comme uniforme, ou au contraire,
en distinguer des sous-classes (Van de Velde 1995, Flaux & Van de Velde
2000, Alexiadou 2011, Fradin 2011), voire en établir une typologie ?
Parallèlement à la question des états, les noms dits 'résultatifs'
soulèvent le même problème de caractérisation négative. Bien qu'ils
semblent avoir suscité une littérature beaucoup moins abondante (voir
cependant Osswald 2005, Melloni 2007), ils provoquent cependant des
questions du même type : Peut-on définir positivement un résultat, et si
oui, comment ? La relation entre la lecture d'événement et la lecture de
résultat d'un déverbal donné peut-elle être ramenée à un phénomène de
polysémie (Godard & Jayez 1993) ? Est-il possible d'établir une
typologie des résultats ? Sur quels critères ? Quelle relation la
télicité entretient-elle avec la résultativité ? Un résultat peut-il
conserver des caractéristiques événementielles ? Quelles sont les
propriétés des états résultants, notamment par rapport aux états
construits par nominalisation d'un verbe statif ?
Outre la question des noms potentiellement événementiels, les autres
noms déverbaux, tels que les noms d'agents, de patients, ou encore
d'instruments, relèvent également de la thématique des nominalisations.
A ce propos, les questions soulevées vont de la mise à jour des critères
qui déterminent l'interprétation du nom construit (Namer & Villoing
2008) à l'implication d'une composante de niveau événementiel /
phrastique dans la nominalisation (Roy & Soare 2010), laissant subsister
un vaste champ d'exploration.
Par ailleurs, le cadre défini par la thématique s'étend aux
nominalisations adjectivales, pour lesquelles diverses questions ont
d'ores et déjà été soulevées, parmi lesquelles celles de la relation
entre prédicativité de l'adjectif et nominalisation (Fradin & Kerleroux
2003), de l'aspect des noms déadjectivaux (Beauseroy & Knittel 2007,
Beauseroy 2009, Haas & Tayalati 2008), ou encore de leur caractère
événementiel (Roy 2010).
Orthogonalement aux questions ci-dessus, les communications relevant du
domaine de la morphologique sont les bienvenues ; par exemple : Quelles
sont les règles de construction impliquées dans les nominalisations ?
Qu'est-ce qui motive le choix du procédé morphologique (affixation vs
conversion) ? Quelle influence la règle / l'affixe a-t-il sur
l'interprétation des noms déverbaux et déadjectivaux (Kerleroux 2008,
Koehl 2009, Martin 2010) ?
Les études sur corpus peuvent-elles permettre de répondre aux questions
posées ci-dessus, ou du moins contribuer à la meilleure compréhension de
ces phénomènes ?
Autrement dit, en quoi l'étude de corpus peut-elle nourrir la recherche
sur la thématique des nominalisations, et de quelle manière ? Par
exemple, quelles sont les propriétés visibles en corpus ? Les corpus
permettent-ils de révéler de nouvelles propriétés ? Les propriétés
distributionnelles confortent-elles les tests linguistiques utilisés
pour catégoriser les nominalisations, et mettre en évidence leurs
propriétés ? L'étude du contexte permet-elle d'élaborer d'autres tests ?
A l'inverse, retrouve-t-on en corpus les patrons utilisés comme tests ?
L'objectif de ce numéro spécial Nominalisations et Corpus sera de faire
progresser les connaissances de la communauté sur ces questions.
*Calendrier :*
- 4 Mars 2013 : Les auteurs désireux de soumettre un article sont
invités à envoyer un résumé de 2 pages, références comprises, de leur
projet pour le 4/03/2013. Le résumé peut être rédigé en français ou en
anglais.
Ce résumé ne doit pas être programmatique. Il doit décrire clairement la
méthodologie, l'objectif et les résultats qui seront présentés dans la
version finale.
- 6 Mai 2013 : Réception des articles (première version). Une feuille de
style sera transmise aux auteurs. La longueur des articles est de 15 à
25 pages.
- 15 Juillet 2013 : Envoi des commentaires des relecteurs aux auteurs.
- 15 Septembre 2013: Réception de la version finale des articles.
Les résumés doivent être envoyés à Evelyne Jacquey
(evelyne.jacquey at atilf.fr) et à Marie Laurence Knittel
(marie-laurence.knittel at univ-lorraine.fr). Les auteurs recevront une
confirmation de réception.
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*
APPEL À CONTRIBUTIONS
S&F -- Savoirs et formation recherches & pratiques -- n°4
« Les aspects sociopolitiques et institutionnels de la formation des
populations peu scolarisées et peu qualifiées »
/Date limite : 6 mars 2013/
*La revue S&F -- Savoirs et formation recherches & pratiques publie son
4e numéro sur le thème « Les aspects sociopolitiques et institutionnels
de la formation des populations peu scolarisées et peu qualifiées». Il
s'intéresse en particulier aux liens entre les contextes
institutionnels, politiques, socio-économiques, idéologiques et la
formation des adultes en parcours d'insertion.
Les deux grands axes des contributions sont :
1. Les évolutions historiques de la formation linguistiques des migrants
et notamment les évolutions récentes.
2. Les évolutions générales de la formation de base des populations peu
scolarisées et peu qualifiées engagées dans un parcours d'insertion.
*TEXTE D'ORIENTATION*
La formation de base des adultes et jeunes adultes peu scolarisés et
peu qualifiés se situe au carrefour de préoccupations socio politiques
des sociétés industrialisées : échec scolaire, faible qualification,
difficultés d'insertion socio professionnelle, exclusion et pauvreté,
etc..L'histoire de ce secteur de la formation d'adultes montre bien les
liens entre les contextes socio politiques et économiques d'une part et
les finalités des dispositifs d'intervention éducative mis en place, les
conceptions des publics et de leurs besoins, la nature des programmes et
les pratiques de formation d'autre part (Leclercq, 2010, 2012, Dumet et
Leclercq, 2012). Par ailleurs, on note une prolifération des discours
idéologiquement marqués accompagnant le développement de ces
formations (voir par exemple la profusion de discours médiatiques sur
l'illettrisme en France ou sur l'intégration linguistique des migrants
et leurs droits / devoirs par rapport à la maîtrise de la langue du
pays d'accueil) et une importance des débats, voire des polémiques,
autour des politiques de formation , des catégorisations des publics ,
des concepts et du vocabulaire utilisés ( le terme de « litteratie » a
ainsi fait l'objet de méfiance de la part de certains milieux de la
formation ). Enfin ce secteur de formation a évolué au gré des choix
faits par les financeurs (Etat, Conseils Régionaux, entreprises etc..)
et les institutions habilitées à définir des politiques.
Ce numéro de la revue se propose donc d'interroger les liens entre les
contextes institutionnels, politiques, socio-économiques, idéologiques
et la formation des adultes en parcours d'insertion (dispositifs de
maîtrise des savoirs de base, remise à niveau, programmes « compétences
clés », formation linguistique des migrants, formation pré qualifiante,
etc. .). Parcours d'insertion, voire d'intégration toujours suspect,
qui ne saurait se limiter à la seule sphère professionnelle au détriment
de parcours de socialisation qui relèvent de la qualification sociale au
sens de Bertrand Schwartz. Cette qualification sociale, trop souvent
réduite à l'emploi et à une formation utilitariste, s'appuie dans bien
des cas sur d'autres réseaux se réclamant souvent de l'Education
populaire. Ce numéro afin de dépasser l'enfermement dans les logiques
d'emploi et d'insertion telle que pensées par le politique s'intéressera
aussi aux dimensions non formelles et informelles des processus de
socialisation à l'oeuvre parmi ces publics
Les articles pourront aborder les points suivants :
1- Évolutions historiques de la formation linguistique des migrants et
notamment les évolutions récentes :
Il est impossible d'analyser les évolutions de la formation linguistique
des migrants sans les référer aux politiques de l'immigration et au
contexte économique. Les conceptions de la population cible, de ses
besoins langagiers et de l'enseignement/apprentissage de la langue du
pays d'accueil ont évolué au gré de ces contextes.
Comment les politiques d'intégration linguistique des migrants de la
dernière décennie, en France et en Europe, pèsent sur les orientations
didactiques légitimées ? En quoi ces orientations influent-t-elles sur
l'organisation des dispositifs de formation et sur les pratiques?
Quelles contraintes exerce-t-on ? Quelles libertés donne-t-on ? Quelles
innovations favorise-t-on ? Quels sont les effets concrets des
labellisations et des agréments Français Langue d'Intégration ? Comment
les formateurs analysent-ils les conditions créées par les nouvelles
politiques de formation ? Quelle place et quelle liberté d'action dans
ce contexte pour les structures d'Education populaire ?
Quels impacts ont les contextes socio-économiques, politiques et
institutionnels sur les évolutions curriculaires des 20 dernières
années ? Quels rôles jouent les acteurs institutionnels dans les
reconfigurations des contenus, mais aussi les experts (didacticiens
etc..). Qui décide de la définition des compétences, des niveaux de
langue et de leurs modes d'évaluation? Dit autrement, qui contrôle
quoi ? Quels changements la formation des formateurs a-t-elle vécu ou
est-elle en train de vivre actuellement ? Les orientations didactiques
en cours favorisent-elles l'articulation entre des interactions verbales
et pratiques intra-muros et extra-muros ? Comment préparent-elles au
travail, à la vie quotidienne et à la citoyenneté républicaine ?
Qu'apporte la notion de langue- culture au niveau des compétences à
développer chez les apprenants ?
2-Évolutions générales de la formation de base des populations peu
scolarisées et peu qualifiées engagées dans un parcours d'insertion
De façon générale la formation de base, incluant la formation aux
savoirs de base (lire, écrire etc.) mais aussi la formation pré
qualifiante, l'accompagnement à l'emploi et à l'insertion socio
professionnelle, la reconversion de salariés de premier niveau de
qualification, est animée de tensions entre des conceptions de la
formation, des modèles éducatifs et des pratiques différents et
contrastés. Ces tensions s'inscrivent dans des contextes plus larges
relevant de sphères économiques et politiques dépassant même le cadre
hexagonal.
Quelles lignes de force décèle-t-on dans les évolutions des finalités
des formations et des modèles éducatifs de référence ? En quoi
l'ingénierie et son arsenal notionnel (compétences, qualité,
efficacité etc..) a-t-elle marqué le secteur ? Quelle place ont pris les
questions d'employabilité et d'insertion professionnelle émergeant dans
un contexte de crise économique ? Quel rôle ont joué les entreprises
dans l'évolution de l'offre et des pratiques ? Quelle place ont joué
les directives et la doxa européennes ? (formation tout au long de la
vie, compétences clés, éducation non formelle et informelle, VAE etc.).
Quelle possibilité de s'écarter des modèles institutionnels « imposés »,
quel espace pour une innovation pédagogique auto-portée par les
apprenants eux-mêmes ?
En quoi le passage au mode des appels d'offres sélectifs a « changé la
donne » ? Quelles reconfigurations sur les partenariats
territoriaux ? Quels impacts sur la vie des organismes de formation ?
Ya t-il une « plus value » évaluable de ce changement en termes de
qualité de la formation? Quelles contraintes pour les structures
d'éducation populaire ?
Comment dans un contexte de chômage massif, le statut des formateurs
(bénévoles, CDD ou CDI) conditionne-t-il leurs rapports avec les
directions des organismes, avec leurs collègues, ainsi que leurs choix
et leurs manières d'enseigner ? Comment caractériser le processus de
professionnalisation des intervenants ? En quoi est-il spécifique à ce
secteur de la formation d'adultes ? Quels facteurs externes ont impacté
ce processus ?
En démocratie, on définit la notion de politique par ce qui renvoie à la
politique linguistique et éducative des autorités décisionnaires, mais
également par ce qui réfère aux droits et pouvoirs effectifs des simples
citoyens (les formateurs de terrain et les adultes apprenants). Comment
analyser la distribution des pouvoirs entre les décideurs, les experts
et consultants, les responsables des organismes, les formateurs et les
adultes en formation ?
Les auteurs enverront impérativement avant le
6 mars 2013.
Un résumé de 2000 signes maximum à l'adresse suivante :
sophie.etienne-aefti.fd at orange.fr
Les articles pourront être rédigés en français ou en anglais
Après examen des résumés par les membres du comité de lecture, les
auteurs, dont les contributions auront été acceptées, enverront leurs
articles pour en aout.
Ils seront examinés par le comité de lecture (lecture en double aveugle)
qui décidera de les accepter, de les refuser ou proposera une réécriture
partielle en vue de la publication (réponse au plus tard fin avril).
Les auteurs donneront leur nom, leur titre/fonction, leur structure
(institutionnelle, université, laboratoire, association, centre de
formation...) leur adresse mail et postale et coordonnées téléphoniques.
Les auteurs préciseront à la fois si leur contribution à ce nouveau
numéro porte sur l'un de ces angles :
Évolutions historiques de la formation linguistique des migrants et
notamment les évolutions récentes
Évolutions générales de la formation de base des populations peu
scolarisées et peu qualifiées engagées dans un parcours d'insertion*
*
http://www.aefti.fr/2013/01/10/appel-a-contribution-du-n%C2%B04-sfrp/
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*APPEL D'OFFRES
Mission d'un formateur en Français sur objectifs universitaires couplée
à une mission de coopération scientifique à l'Université de Yarmouk,
Jordanie
/Date limite: 15 mars 2013/*
Le département des langues modernes de l'Université de Yarmouk, avec le
soutien de l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) organise du
14 au 18 avril 2013 une session de formation de formateurs sur le
thème « Français sur objectifs universitaires » couplée à une mission de
coopération scientifique sur les savoirs théoriques des différents types
d'écrit universitaire, sur l'élaboration d'une fiche de lecture en SDL
et sur l'enseignement/apprentissage du français.
*I. Formation de formateurs :*
*Objet :*
L'AUF recrute un formateur universitaire spécialisé capable de prendre
en charge un groupe de 15 à 20 enseignants souhaitant approfondir leurs
connaissances sur le sujet.
*Contexte :*
Compte tenu de l'importance de l'enseignement du FOU, l'Université de
Yarmouk souhaite effectuer une formation des formateurs dans ce domaine.
*Public :*
* Enseignants du département de français au sein de la Faculté des
lettres à l'Université de Yarmouk.
* Enseignants des départements de français au sein d'autres
universités jordaniennes.
* Public francophone.
*Objectifs :*
* La formation concernera tout particulièrement :
* La problématique de l'enseignement/apprentissage du FOU.
* La préparation des cours de français sur objectifs universitaires.
*Durée :*
12 heures réparties les 14 et 15 avril 2013 de 9h à 16h y compris une
heure pour le déjeuner.
*II. Mission de coopération scientifique :*
*Objet :*
Le même formateur recruté devrait assurer des séminaires et ateliers aux
étudiants du département inscrits en licence et en master sur les
savoirs théoriques des différents types d'écrit universitaire, sur
l'élaboration d'une fiche de lecture en SDL ainsi qu'un
enseignement/apprentissage du français.
*Contexte :*
Souhaitant profiter de l'expertise du formateur, l'Université de Yarmouk
demande du formateur d'animer un séminaire en français aux étudiants
inscrits au département sur les thèmes cités plus haut.
*Public :*
Les étudiants inscrits en Licence et en Master Sciences du Langage
*Objectifs :*
* Initier les apprenants aux différents types d'écrit universitaire
(étudiants de master)
* Initier les apprenants à l'élaboration d'une fiche de lecture en
SDL (étudiants de master)
* Présenter aux étudiants l'importance de l'apprentissage d'une
langue étrangère et comment en profiter et l'exploiter sur le
marché du travail (étudiants de licence).
*Durée :*
* 2 jours pour les étudiants inscrits en Master Sciences du Langage,
un jour pour le séminaire portant sur les savoirs théoriques des
différents types d'écrit universitaire et un jour pour l'atelier
sur l'élaboration d'une fiche de lecture en SDL, prévus les 16 et
17 avril,
* 1 jour pour le séminaire destiné aux étudiants inscrits en licence
portant sur l'enseignement/apprentissage du français, prévu le 18
avril.
*Prise en charge du formateur par l'AUF :*
* le billet d'avion A/R en classe économique,
* un forfait de déplacement taxi de 55EUR,
* la rémunération des cours à hauteur de 40 euros par heure pour les
12h de formation des formateurs,
* l'assurance (accident, maladie, rapatriement sanitaire,
responsabilité civile, etc..),
* un forfait repas de 25 euros par jour (sur 6 jours).
*Prise en charge par l'université de Yarmouk :*
* l'hébergement du missionnaire à hauteur de 6 nuitées.
*Obligations du formateur :*
Le missionnaire soumettra des propositions de contenus et de supports
pour cette formation avec sa candidature.
Le missionnaire s'engage :
* à préparer la session de formation,
* à produire les contenus de cours,
* à exécuter l'intégralité de la formation
* à rédiger un support de cours qui sera remis aux stagiaires,
* à mettre en ligne le support de cours partagé librement, à l'issue
de la formation, sur le site de ressources mutualisées pour les
départements universitaires de français de l'AUF :
http://www.aidenligne-francais-universite.auf.org/spip.php?article1062
* à remettre un rapport de formation à l'AUF à l'issue de la formation
*Modalités :*
Les candidats doivent remplir la fiche d'identification
(http://www.auf.org/media/adminfiles/Fiche_candidature_FF_FOU_u.yarmouk2013.doc)
et fournir un CV et le plan de formation.
Ils doivent les adresser simultanément, avant le 15 mars 2013, à
mirande.khalaf at auf.org et à elierabad at yahoo.fr
Un avenant à la convention, liant l'Université de Yarmouk et l'AUF, sera
signé entre le formateur, et les deux parties citées plus haut.
URL de l'annonce:
http://www.auf.org/bureau-moyen-orient/appels-offre-regionales/mission-dun-formateur-en-francais-sur-objectifs-un/
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*APPEL À COMMUNICATIONS
Figures du discours et contextualisation
Université Nice Sophia-Antipolis / IUF
Laboratoire Bases, Corpus, Langage (CNRS -- UMR 7320)
3-5 octobre 2013
/Date limite : 28 février 2013/*
Longtemps, les figures de rhétorique ont été conçues comme des écarts
par rapport à une norme et comme des ornements du discours. Plus
récemment, d'autres approches ont proposé d'y voir plutôt des
configurations du discours à la fois nécessaires et fonctionnelles qui
disent quelque chose de la relation entre le locuteur et
l'interlocuteur, entre le locuteur et le monde. C'est dans ce courant
innovant et pluridisciplinaire, où se rencontrent linguistique,
pragmatique, philosophie, sciences cognitives, que se situe le
colloque. Celui-ci propose de mettre en dialogue ces différentes
approches pour faire progresser l'analyse des figures en contexte.
Dans le domaine linguistique, les approches énonciatives et pragmatiques
actuelles considèrent les figures dans le discours, et donnent un sens
au déplacement terminologique illustré par les dénominations
concurrentes de « figures de rhétorique », « figures de style » et «
figures du discours ». En effet, les études actuelles déplacent
l'approche typologique vers une approche discursive qui essaie de rendre
compte des figures, non seulement dans leur forme, mais aussi dans leur
mise en oeuvre discursive. Sans oublier ni l'archéologie des figures, ni
leur ancrage rhétorique ni même leurs déterminations formelles, les
approches discursives mettent l'accent sur la question de la production
du sens dans les figures.
Dans la dynamique des travaux qui ont conduit ces dernières années à
repenser l'approche des figures du discours, parmi lesquels on peut
citer l'approche praxématique de Catherine Détrie (Cahiers de
praxématique n° 35, 2000 ; Du sens dans le processus métaphorique,
Champion, 2001), l'approche rhétorico-pragmatique de Marc Bonhomme
(Semen n° 15 2002 ; Pragmatique des figures du discours, Champion 2005),
l'approche énonciative en termes de points de vue d'Alain Rabatel
(Langue française n° 160 2008 et Le Français moderne t. 79 2011)[1],
nous souhaitons poursuivre l'analyse discursive des figures en posant la
question de leur contextualisation.
Le présent colloque se donne plus précisément comme objectif de faire le
point sur les interactions entre figures et contexte(s) : il s'agira
d'envisager d'une part comment et dans quelle mesure l'analyse prend en
compte le contexte dans l'étude des figures et de réfléchir d'autre part
sur la manière dont les figures -- conditionnées par le contexte --
conditionnent elles-mêmes le contexte.
Les propositions pourront par exemple s'appuyer sur le double mouvement
qui légitime le choix du substantif actif contextualisation pour le
titre de ce colloque : 1/ de la figure décontextualisée (qui a conduit à
leur détachement comme énoncés remarquables) à la figure en contexte,
c'est-à-dire de la figure-forme à la figure-fonction ; 2/ de la figure
en contexte à l'interaction entre figure et contexte, voire à la figure
contextualisante.
*Les axes proposés sont les suivants :*
1. Figures et types de discours
Conférencier invité : Marc Bonhomme (Université de Berne)
2. Approches diverses (grammaticale, énonciative, cognitive) d'une figure
Conférencier invité : Dominique Legallois (Université de Caen)
3. Figures et représentation de l'oralité
Conférencière invitée : Catherine Rouayrenc (Université de Toulouse)
4. Figures, argumentation, passions
Conférencière invitée : Ruth Amossy (Université de Tel Aviv)
5. Archéologie des figures
Conférencier invité : Pierre Chiron (Université Paris XII)
Les propositions de communication pourront porter sur d'autres langues
que le français.
*Informations:*
Responsables du colloque : Lucile Gaudin-Bordes (gaudin at unice.fr) et
Geneviève Salvan (gsalvan at unice.fr).
Comité scientifique : Ruth Amossy (Tel Aviv), Michèle Biraud (Nice
Sophia-Antipolis, IUF), Marc Bonhomme (Berne), Frédéric Calas
(Clermont-Ferrand), Pierre Chiron (Paris XII), Catherine Détrie
(Montpellier 3), Lucile Gaudin-Bordes (Nice Sophia-Antipolis), Anna
Jaubert (Nice Sophia-Antipolis), Dominique Legallois (Caen), Georges
Molinié (Paris IV), Michèle Monte (Toulon), Alain Rabatel (Lyon 3),
François Rastier (CNRS), Catherine Rouayrenc (Toulouse), Geneviève
Salvan (Nice Sophia-Antipolis), Philippe Wahl (Lyon 2).
Date du colloque : 3-5 octobre 2013
Date limite pour l'envoi des propositions de communication (à adresser
aux deux responsables, par courrier électronique) : 28 février 2013
Lieu du colloque : Université Nice Sophia-Antipolis, Campus Saint Jean
d'Angély, Bâtiment de l'Horloge -- 24, avenue des diables bleus -- 06357
Nice CEDEX 4
Langue du colloque : français
Frais d'inscription : 60 EUR
Tous les autres frais (transport, hébergement, repas, etc.) sont à la
charge des participants.
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* *BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
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APPEL À COMMUNICATIONS**
Les Classiques aux Amériques : Réécritures des classiques grecs et
latins sur le continent américain et dans les Caraïbes
Colloque international
10-11-12 octobre 2013
Date limite: 28 février 2013
*
Organisé par Cécile Chapon, Roberto Salazar Morales et Irena Trujic pour
le Centre de Recherche en Littérature comparée, Université Paris-Sorbonne
Si l'usage de l'intertextualité classique a été abondamment travaillé et
commenté du côté européen, le « Nouveau Monde » n'a pour le moment
bénéficié que d'études ponctuelles. Le travail intertextuel d'auteurs
comme Edgar Allan Poe ou Jorge Luis Borges a bien sûr fait l'objet de
multiples analyses ; par ailleurs, plusieurs projets de recherches ont
ciblé l'une ou l'autre des littératures nationales ou régionales du
continent américain comblant parfois des points aveugles de l'histoire
littéraire. Cependant, il nous semble important de poser désormais les
jalons d'une réflexion plus globale sur les réécritures des classiques
grecs et latins en Amérique du Nord et du Sud entre les XVIe et XXIe
siècles. La période retenue est volontairement large, permettant de
s'intéresser aussi bien à certaines des oeuvres fondatrices des
différentes littératures nationales qu'à l'extrême contemporain. Il
s'agira de travailler sur l'ensemble du continent américain et des
Caraïbes afin de mieux cerner les correspondances et les divergences
qu'il peut y avoir dans le traitement de l'intertextualité classique au
sein de contextes linguistiques et historiques parfois très différents,
mais tous liés par la trace des colonisations et des langues européennes.
Quels sont les auteurs dont les oeuvres sont les plus souvent réécrites
? Quels sont les éléments repris et pourquoi ? Comment fonctionne la
reprise et qu'apporte-t-elle ? Comment les auteurs reconfigurent-ils les
oeuvres qu'ils reprennent pour les adapter au public américain et/ou à
une modernité littéraire ? Quelles particularités se dégagent-elles en
fonction de chaque contexte culturel ? À l'inverse, peut-on établir des
constantes sur l'usage de l'intertextualité classique dans le cadre du
continent américain ? C'est à ce type de questions -- la liste n'est
bien entendu pas exhaustive -- que ce colloque, ouvert aux doctorants
comme aux chercheurs confirmés, se propose de réfléchir.
Les langues de travail seront le français, l'anglais et l'espagnol (avec
résumé bilingue de l'intervention si celle-ci n'est pas donnée en français).
Les propositions de communication (200-300 mots sans compter la
bibliographie), rédigées dans l'une des langues du colloque, sont à
envoyer accompagnées d'une brève bio-bibliographie à
classiques.aux.ameriques at gmail.com d'ici au 28 février 2013.
*Comité scientifique:*
Véronique Gély, Université de Paris-Sorbonne
Ute Heidmann, Université de Lausanne
Jean-François Cottier, Université Paris Diderot
Romuald Fonkoua, Université de Paris-Sorbonne
Alexis Tadié, Université de Paris-Sorbonne
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*APPEL À COMMUNICATIONS
L'approche intertextuelle dans la littérature et les arts
Colloque international organisé par Le groupe de recherche Langage
Communication et Argumentation de la Faculté des Lettres et des
Sciences Humaines, Université Ibn Zohr, Agadir-Maroc, 22-23-24 avril 2013
/Date limite de réponse à l'appel : 12 mars 2013/*
Responsable : M. Sâd SLAMTI
*Argumentaire*
Les acceptions de l'intertextualité se succèdent depuis une trentaine
d'années mais se ressemblent-elles ? Le colloque que nous organisons
depuis quatre années à l'université Ibn Zohr, ici à Agadir au Maroc, a
dans sa dernière édition ouvert cette approche critique littéraire à une
approche transversale , dans la mesure ou le dialogue entre les arts,
peinture, cinéma, bande dessinée, textes littéraires français mais
également des textes appartenant à différentes langues et cultures s'est
vu rapprocher à travers une vision critique laquelle s'est mue en une
promesse de mémoire universelle.
Certes, le terme est fort mais il en était ainsi ; cette rencontre
autour du dialogue entre les arts étant devenue d'autant plus une
cérémonie entre chercheurs venus des quatre coins de la planète, avec
certes une absence de l'Asie que nous attendons toujours. Un espoir,
plus qu'un axe de recherche est né alors à travers cette communion :
celui d'associer à la recherche un humanisme cher à notre tradition
universitaire marocaine, dans une ère tournée de plus en plus vers le
repli identitaire et le pessimisme régnant par delà le méandre de cette
crise économique qui parait-il n'a pas dit encore son nom.
Aussi, nous renouvelons cette rencontre pour une cinquième édition. Nous
garderons, cependant, comme repère cette acception de
l'intertextualité, oh combien judicieuse, que nous propose Philipe
Sollers et que voici : « Tout texte se situe à la jonction de plusieurs
textes dont il est à la fois la relecture, l'accentuation, le
déplacement et la profondeur ».
*Axes du colloque *
Formes intertextuelles
Allégorie, ironie et intertextualité.
Histoire littéraire et intertextualité.
Du texte littéraire au support artistique
L'intertextualité comme champ des possibles des textes ou comme mémoire
des oeuvres.
Le plagiat par anticipation, ou l'intertextualité par anachronisme.
La stylistique, une clef indispensable dans le décodage de
l'intertextualité inavouée.
Intertextualité et altérité
Intertextualité interculturelle
Intertextualité de l'image dans la publicité, le cinéma, la bande
dessinée et la peinture
La mise en abyme et intertextualité.
Coordinateur : SLAMTI Sad
*COMITE SCIENTIFIQUE*
BEKKAT Amina Azza (Université de Blida, Algérie)
BOUATOUR Mohamed, (Université Sfax)
DEBORA Hess, (Madison new Jersey, Drew University, U.S.A)
FERREIRA-MEYERS Karen, University of Swaziland, Swaziland)
HOPPENOT Eric (Université Paris IV, Sorbonne, Paris)
PILORGET Jean Paul, (Classe préparatoires, lycée Blaise Pascal, Paris)
SAMARI Nezha (Université Ibn Zohr)
SLAMTI Sad, (Université Ibn Zohr)
WAHBI Mohamed, (Université Ibn Zohr)
*COMITE D'ORGANISATION *
BENYAHYA Mohamed
SAMARI Nezha
SLAMTI Sad
WAHBI Mohamed
*COMITE D'ORGANISATION DES ETUDIANTS*
Coordinatrice : JALLOUL Imane
BENDIAB Leila
JELLOUL Sara
MEZHOUD Karime
*A CONTACTER*
Slamti SadTel : 0661855160
E-mail : de_saaade at hotmail.com
*CONDITIONS DE PARTICIPATION*
Les propositions de communication (250 mots) accompagnées d'une notice
biographique (où vous préciserez, votre université d'attache et votre
programme d'études) et d'une liste de cinq mots-clés doivent être
envoyées avant le 12 mars 2013. A l'adresse
Suivante : de_saaade at hotmail.com
La possibilité d'une publication des actes du colloque, après
sélection des articles par un comité de lecture, est assurée.
Une fois que le comité d'évaluation vous aura communiqué si votre
communication a été retenue, vous devrez abonner dés leur arrivée d'une
inscription de 70 euros.
*CONDITIONS DE PARTICIPATION*
1-Obligation de s'engager à participer dans l'un de ces axes précités.
2-Envoie d'un résumé du travail de recherche avant 12 mars 2013.
3-Date de communication de l'avis favorable : le 20 mars 2012
4-Le travail de recherche doit parvenir avant le 20 avril 20012
5-Langues du Colloque : Arabe, Français.
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*APPEL À COMMUNICATIONS*
*Colloque international
Le portrait dans la littérature et les arts visuels
Troisième édition
Kairouan (Tunisie), 25-27 avril 2013
/Date limite: 15 mars 2013/*
Le portrait écrit et le portrait peint (dessiné, photographié, filmé,
numérisé...) ont de nombreuses caractéristiques en commun. Que ce soit
dans la littérature, le cinéma, la peinture, l'image de synthèse, la
vidéo et la performance, le portrait se construit suivant les
orientations idéologiques de son auteur. Il suggère formes et
impressions tout en répondant à différentes techniques romanesques ou
visuelles qui témoignent d'une émission (production) d'un discours sur
soi, sur son intimité et sur son propre corps.
Le regard sur l'autre est, également, très manifeste dans l'art du
portrait en peinture ainsi que dans la description du personnage qui est
une sorte de portrait romanesque. La représentation du corps est
fondamentale dans ces différents genres artistiques et littéraires qui
sont autant d'espaces de création où le portrait, qu'il soit physique,
psychologique ou moral, se réfléchit, se redécouvre comme lieu de
sensations et d'émotions et se reproduit dans les domaines de la fiction
et de l'imagination à travers la littérature et les arts visuels.
La deuxième session de ce colloque a eu lieu en Avril 2012 à Agadir au
Maroc, à l'Université Ibn Zohr. La troisième session aura lieu en Avril
2013 à Kairouan, en Tunisie. Elle sera accueillie par l'Institut
Supérieur des Arts et Métiers de Kairouan.
*Thématique générale*
Évaluer la correspondance qui existe entre la littérature, les arts
plastiques (y compris dans le cadre des technologies contemporaines) et
le cinéma, en ce qui concerne la symbolique du portrait féminin et
masculin dans des genres narratifs et esthétiques tels que la
description romanesque du personnage, la caricature, l'art vidéo, la
peinture, la sculpture... Considérer l'impact de la culture visuelle sur
l'idéologie littéraire et vice versa. (L'interaction fortement présente
entre la littérature et le cinéma).
*Corpus*
La littérature, les arts visuels et médiatiques, la peinture, la vidéo
et les arts plastiques (y compris dans le cadre des technologies
contemporaines), la publicité, la presse écrite, le cinéma, le dessin et
la littérature populaire.
*Objectifs*
Établir une démarche de rapprochement entre la notion du genre dans la
peinture, les arts visuels (portrait et autoportrait) et les procédés
narratifs de l'écriture littéraire (description du personnage, récit
autobiographique) pour arriver à lire et à étudier les différentes
modalités de la représentation de soi et de l'autre dans l'art et la
littérature.
Traiter le portrait numérisé, pictural et littéraire comme étant un
objet/sujet de narration dans le but de comparer les techniques de
l' « écriture artistique » et celles de l'écriture littéraire.
*Quelques axes de réflexion*
Les grands portraits de la littérature universelle
Portraits de femmes dans le cinéma mondial
La représentation du corps féminin de l'orientalisme à l'époque de la
figuration libre au Maghreb
Le portrait masculin dans l'écriture féminine
La femme dans la littérature populaire
Le portrait de la femme dans la publicité et la presse
Les problématiques de la représentation du portrait dans le langage des
nouveaux médias et des arts médiatiques
L'autoportrait
Les enseignants-chercheurs qui sont intéressés par cette manifestation
sont priés d'envoyer un abstract de leur communication avant le 15 Mars
2013 à l'adresse suivante: colloqueartduportrait at gmail.com.
*Comité scientifique*
Fatima Ahnouch : Faculté des Lettres. Université Ibn-Zohr d'Agadir, Maroc
Louise Poissant : Université de l'UQAM, Canada
Xavier Lambert : Université Toulouse Le Mirail II, France
Rita Khatyat : Psychiatre, éditeur et écrivaine marocaine
Moez Safta : Université de Tunis
Khaled Abida : Université de Kairouan
*Comité d'organisation*
Fatima Ahnouch : Professeur d'Enseignement Supérieur. Faculté des
Lettres. Université Ibn-Zohr d'Agadir, Maroc
Khaled Abida : Directeur du département d'Arts Plastiques de l'Institut
Supérieur des Arts et Métiers de Kairouan
Sahbi Alani : Directeur de l'Institut Supérieur des Arts et Métiers de
Kairouan
*NB :*
Les frais d'inscription au colloque international sur le portrait dans
sa 3ième session sont de 60EUR pour les participants. Ils serviront à
financer le coût de la publication des actes du colloque.
L'Institut Supérieur des Arts et Métiers de Kairouan prend en charge
l'hébergement et les repas de ses invités. Les frais de transport sont à
leurs charges.
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
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