[Liste-framonde] FRAMONDE - Brèves 13 mars 2012
Amélie Nadeau
amelie.nadeau at auf.org
Mar 13 Mar 12:11:04 EDT 2012
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO
APPEL À CONTRIBUTIONS
La force des mots : les mécanismes sémantiques de production et
l'interprétation des actes de parole « menaçants »
Revue « Signes, Discours et Sociétés », Numéro 9
/Date limite: 20 mars 2012/*
Les articles du numéro 8 de la revue « Signes, Discours et Sociétés »,
intitulé « La force des mots : valeurs et violence dans les interactions
verbales » (http://www.revue-signes.info/sommaire.php?id=2390), ont
privilégié la réflexion sur les espaces sociaux où la violence verbale
s'exerce, en lien avec l'affirmation de soi et avec un processus de
discrimination, voire de rejet de l'autre, de ses valeurs, de ses
croyances, de son identité.
Ils ont fait apparaître la richesse et la diversité des configurations
de l'interaction sociale dans laquelle la violence verbale peut
s'installer, la diversité des sources de cette violence :
- sources internes aux échanges verbaux et à l'interaction humaine, dans
sa dimension psychologique, affective et sociale,
- ou sources externes à cette interaction humaine, ancrée dans la forme
de pratique instituée, voire institutionnalisée, dans ses normes et ses
hiérarchies.
Cette réflexion nous permet de nous interroger sur le concept même de
violence verbale, de confronter des approches pluridisciplinaires, ou
plurielles, dans le cadre de la même discipline, mais dans des cadres
théoriques différents.
Dans la continuité de cette réflexion et des recherches présentées dans
ces articles, le numéro 9, intitulé « La force des mots : les mécanismes
sémantiques de production et l'interprétation des actes de parole
"menaçants" », portera sur deux aspects de « la parole violente » :
- les mécanismes discursifs, à l'interface de la sémantique et de la
pragmatique, des actes qui menacent l'image publique de l'autre et de
soi-même, qui expriment la haine, le mépris, qui s'opposent pour se
poser et visent ainsi à provoquer « une perte de face », un « mal-être »,
- mais aussi les représentations linguistiques et culturelles que les
sujets parlants et agissants dans les interactions verbales ont de « la
violence verbale », de la parole menaçante.
On pourra s'interroger d'abord sur les marqueurs de force
illocutionnaire, ou de contenu propositionnel d'un acte de langage
potentiellement menaçant, et revisiter les formes de transgression des
formules de civilité (Brown & Levinson 1978 ; Kerbrat-Orecchioni 1992,
2005). Le questionnement portera également sur le degré de dépendance du
contexte de l'interprétation d'un acte discursif comme insultant,
menaçant, injurieux ou simplement non
respectueux des normes de politesse, culturellement déterminées ou
propres à une forme de pratique sociale et sur les possibilités
d'analyser, à partir d'enquêtes auprès d'informateurs de langues et
cultures différentes, en situation de contact de ces langues et
cultures, les représentations culturelles et sémantiques des actes de
langage comme l'insulte, la menace, l'injure, l'accusation, etc.
Les articles pourront avoir pour thème également la confrontation des
savoirs langagiers déclaratifs des sujets parlants, leur permettant
d'interpréter des actes de parole comme des actes violents, et leurs
savoir-faire discursifs, leur permettant d'éviter la violence verbale et
de riposter à celle qui leur est infligée.
Les propositions d'articles (titre et résumé ne dépassant pas 350 mots
bibliographie comprise) devront être adressées sous présentation anonyme
en attachement à un courriel spécifiant nom, affiliation de l'auteur de
même que le titre de l'article, à l'adresse des trois responsables du
numéro,
avant le 20 mars 2012.
L'acceptation des articles proposés sera communiquée le 6 avril au plus
tard aux auteurs, qui devront envoyer les textes des articles au plus
tard le 25 mai. Les évaluations des articles par le comité de lecture
seront communiquées aux auteurs le 10 juin, pour un retour des articles
corrigés avant la fin du
mois de juin, la parution en ligne du numéro étant prévue pour le 15
juillet 2012.
Olga Galatanu
Professeur des universités
CoDiRe -- EA 4643
IRFFLE, Université de Nantes
olga.galatanu at univ-nantes.fr
Abdelhadi Bellachhab
Maître de conférences
Université de Lille 3
CoDiRe -- EA 4643
bellachhab.abdelhadi at gmail.com
Ana-Maria Cozma
Enseignante-chercheuse
Université de Turku
CoDiRe -- EA 4643
anamariacozma at hotmail.com
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BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*
APPEL À CONTRIBUTIONS
PARCOURS DE FORMATION, D'INTÉGRATION ET D'INSERTION : LA PLACE DE LA
COMPÉTENCE CULTURELLE
S&F - SAVOIRS ET FORMATION RECHERCHES & PRATIQUES
Deuxième appel à contribution pour le numéro 3 de la revue
scientifique : Savoirs et Formation, recherches et pratiques
/Date limite: 12 avril 2012/*
TEXTE D'ORIENTATION
En contexte de formation, d'intégration, d'insertion sociale,
professionnelle et citoyenne, nous nous interrogeons sur la place de la
compétence culturelle.
Les articles aborderont tout ou partie des six ensembles de questions
suivantes :
1. En quoi consiste la « compétence culturelle » ? Doit-on/peut-on
dégager un modèle à différentes composantes (comme cela a été le cas
pour la compétence de communication dans l'approche communicative
(modèles de Wilkins, Moirand, Coste,...) et encore dans le CECR avec les
composantes linguistique, sociolinguistique et pragmatique ? Jacques
Demorgon a proposé un modèle d'origine philosophique à trois composantes
(trans-, multi- et interculturel) dont il estime qu'elles doivent
interagir en permanence (d'où son rejet de l' « interculturel seul »,
cf. par ex. Critique de l'interculturel, Economica, 2005). Christian
Puren propose pour sa part un modèle basé sur l'histoire de la
didactique des langues-cultures à cinq composantes (trans-, méta,
inter-, pluri-, co-culturel), dont il estime lui aussi que toutes
doivent être prises en considération (cf. son article de 2011 en ligne :
http://www.christianpuren.com/mes-travaux-liste-et-liens/2011j/).
Quelles autres modélisations sont susceptibles d'être dégagées ?
2. Comment et pourquoi la notion d' « interculturel » en est arrivée en
FLE (mais aussi en FLS et FOS), à recouvrir l'ensemble de la
problématique culturelle ? Les auteurs du CECR parlaient de « compétence
plurilingue et pluriculturelle » : que signifie le retour à la notion
unique d' « interculturel » dans les textes actuels de la Direction des
politiques linguistiques du Conseil de l'Europe, avec comme double
finalité annoncée l' « éducation plurilingue et interculturelle » ?
Peut-on parler à propos de cette finalité éducative, avec Bruno Maurer
(Enseignement des langues et construction européenne. Le plurilinguisme,
nouvelle idéologie dominante, Paris : Éditions des archives
contemporaines, 2011), d'une « idéologie », d'autant plus contestable
qu'elle serait exclusive et imposée sans débat démocratique ?
3. Quelle a été la trajectoire de la notion de "culture" ? : a-t-elle
été imposée par l'ethnologie, les études littéraires, la morale, la
religion, les médias ? Quel a été sur ce point le rôle des écrits
savants et médiatiques dominants (ONU, UNESCO, Commission et Conseil
Européen, OCDE...) ? La notion de "culture" n'est-elle pas régressive ?
Tout se passe en effet comme si "culture" avait évincé "société" pour
mettre en avant consensus et cohésion sociale en faisant disparaître
l'hétérogénéité conflictuelle et les clivages sociaux : les inégalités
et les tensions dans l'organisation de la diversité. Pour en finir avec
ce déplacement de "société" à "culture", le terme de "socioculture",
utilisé en alternance avec "culture" et "société" dans les discours
didactiques, aiderait-il à mieux intégrer les manières de, les
productions et les oeuvres humaines dans leur dynamique politique et
historique, où les contradictions et les antagonismes, les désaccords,
les débats, les incompatibilités, et les luttes sont légions ?
4. En fonction du modèle retenu, quelle compétence culturelle doit-on
viser en pays d'accueil dans la formation des publics migrants et des
adultes en formation de base, en fonction de quel projet (insertion,
intégration,...) à leur proposer ? L'analyse que C. Puren, dans son
article cité ci-dessus, fait des composantes de la compétence culturelle
telles qu'elles apparaissent dans le Référentiel FLI ou dans les
dispositifs d'accès aux compétences clés, montre qu'il y a assurément là
sujet à débat.
5. Est-il possible/souhaitable d'élaborer un « référentiel de compétence
culturelle » (dans le même article, voir la reproduction et la critique
d'une tentative d'élaboration de « grilles de compétence interculturelle »).
6. Quelles démarches d'enseignement-apprentissage et quels dispositifs
d'évaluation doit-on mettre en place pour ce public en ce qui concerne
la compétence culturelle visée?
Les auteurs enverront un résumé de 2000 signes maximum à l'adresse
suivante : sophie.etienne-aefti.fd at orange.fr impérativement avant le 12
avril 2012.
Les articles pourront être rédigés en français ou en anglais.
Après examen des résumés par les membres du comité de lecture, les
auteurs, dont les contributions auront été acceptées, enverront leurs
articles pour le début septembre.
Ils seront examinés par le comité de lecture (lecture en double aveugle)
qui décidera de les accepter, de les refuser ou proposera une réécriture
partielle en vue de la publication (réponse au plus tard le 15 mai).
Les auteurs donneront leur nom, leur titre/fonction, leur structure
(institutionnelle, université, laboratoire, association, centre de
formation...) leur adresse mail et postale et coordonnées téléphoniques.
Les auteurs préciseront à la fois si leur contribution à ce nouveau
numéro porte sur l'un de ces trois angles :
Le champ (Les enjeux, les concepts, les notions le cadre théorique)
Les outils (Quels référentiels ? Comment on les croise ? Comment on les
utilise ?)
Les expériences (Analyse de terrain, analyse de pratiques,
recherche-action).
Ils indiqueront également quel(s) ensemble(s) est (sont) abordé(s) parmi
les 6 proposés plus haut.
NB : La revue Savoirs et Formation Recherches et Pratiques est dotée
d'un comité scientifique composé de chercheurs dont les travaux font
autorité. La revue se place sur le terrain professionnel,
institutionnel et social de la formation d'adultes en insertion sociale,
économique et culturelle. Le champ scientifique de la revue est ouvert à
toutes les approches scientifiques qui pourraient faire avancer les
connaissances dans le champ de la formation d'adultes en insertion. La
ligne éditoriale de la revue est donc construite autour de ce champ et
de ses enjeux didactiques, sociaux, culturels et politiques. La
publication respecte les choix souverains du comité scientifique en
matière de sélection des articles.
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BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
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APPEL À COMMUNICATIONS
« La construction discursive du "locuteur francophone" en milieu
minoritaire. Problématiques, méthodes et enjeux »
/Date limite: 31 mars 2012/*
Deuxième appel à communications
Colloque international (deuxième volet)
Université de Moncton
Les 3, 4, 5 et 6 octobre 2012
Les conférenciers suivants ont confirmé leur présence :
Cécile Canut, Université Paris--Descartes
Sylvie Dubois, Louisiana State University
Alexandre Duchêne, Haute École pédagogique de Fribourg
Monica Heller, University of Toronto
Jean-Marie Klinkenberg, professeur émérite, Université de Liège
France Martineau, Université d'Ottawa
Salikoko Mufwene, University of Chicago
Organisé par Le Centre de recherche en linguistique appliquée de
l'Université de Moncton et CoDiRe & IRFFLE de l'Université de Nantes
Avec la collaboration du projet Le français à la mesure d'un continent,
dirigé par France Martineau de l'Université d1Ottawa, subventionné par le
Conseil de recherches en sciences du Canada dans le cadre des Grands
travaux de recherche concertée et du Centre d'études françaises et
francophones de la Louisiana State University de Baton Rouge
*Présentation*
L'objectif du colloque est d'interroger les concepts et les discours qui
ont servi à la construction du « francophone », considéré souvent comme
le même partout dans la francophonie, sans tenir compte de
l'hétérogénéité et de la diversité qui le constituent. Jugés à l'aune
d'un français unique, les francophones des milieux minoritaires ou
périphériques se voient parfois remis en doute dans leur qualité même de
locuteurs du français. Par ailleurs, le discours sur la diversité devenu
dominant depuis les années 1980 n'a pas pour autant réglé le problème.
Le francophone est maintenu à l'intérieur de frontières territoriales et
identitaires étroites, ce qui donne lieu à une multitude d'identités
régionales rattachées à des « langues locales » et qui
reproduisent, dans certains cas, le schéma ancien d'une langue et d'une
culture liées à un lieu spécifique, comme c'est le cas en Amérique du
Nord. Ce processus a été accéléré par la nouvelle économie mondialisée,
où le tourisme culturel a, entre autres, misé sur le culte des différences.
Dans la foulée de cet élan pour les « cultures locales », les travaux
sur la langue du francophone ont, dans le meilleur des cas, montré la
pluralité des formes que peut prendre sa langue, mais dans certaines
limites (sur les plans phonétiques et lexicaux surtout) ; dans le pire
des cas, ils ont figé cette langue dans l'exotisme linguistique qui mène
à la stéréotypie. Le francophone ne devient plus qu'un diversifié - un
Acadien, un Québécois, un Wallon, enfermé dans une catégorie stérile
dont il a du mal à se défaire. Certes, la situation est différente en
Afrique où le plurilinguisme des locuteurs est maintenant perçu comme
libérateur, mais l'impact des discours essentialistes provenant de
l'Europe (surtout de la France) n'est pas non plus à négliger.
Ces nouvelles reconfigurations locales répondent souvent à des
impératifs culturels et économiques (les deux étant liés) qui tentent
d'afficher l'authenticité des cultures et des langues dans une
francophonie qui peine à montrer sa diversité (Heller et Labrie 2003).
Mais l'hétérogénéité constitutive des francophones continue d'être niée
dans ces nouveaux schémas, le folklore s'étant substitué à l'homogène
pour faire place à une essentialisation des langues et des cultures qui
n'en est que renforcée. On dira ainsi que les Suisses francophones sont
et parlent de telle façon, les Québécois de telle autre, les Acadiens
aussi et ainsi de suite. Rattachées à l'imaginaire du même, les
catégories sociales naguère créées à partir de ceux qui « parlent bien »
et de ceux qui « parlent mal » rivalisent avec celles créées à partir de
la vision idéalisée de la diversité tous azimuts, qui renvoie à une
nouvelle compartimentation (Canut et Duchêne 2011), fondée cette fois
sur de nouvelles hiérarchisations linguistiques (maternelle / nationale,
nationale / internationale, minoritaire / nationale) (Ibid : 7).
Appréhender la question du locuteur francophone en milieu minoritaire
nécessite de s'interroger sur le poids des idéologies linguistiques
véhiculées dans les discours depuis les premiers mouvements d'expansion
du français et d'analyser les méthodes et les concepts qui ont favorisé
une vision microscopique des phénomènes linguistiques souvent au
détriment d'une vision d'ensemble de la situation. L'hyperspécialisation
dans certains courants de la linguistique
et la compartimentation des savoirs qui en résulte ont fait en sorte
d'exclure les explications d'ordre politique et social des phénomènes
linguistiques et ont mis au rancart les idéologies linguistiques à la
base de leur construction. Il s'agira donc dans ce colloque de
poursuivre l'interrogation suscitée par Le français dans l'espace
francophone (Robillard et Beniamino 1993) et L'Insécurité linguistique
dans les communautés francophones périphériques (Francard et alii 1993).
Les deux ouvrages, publiés la même année, mettaient l'accent sur la
pluralité des espaces francophones, sur les différentes façons de se
concevoir comme francophones et appelaient (indirectement) à une
sociolinguistique de la périphérie, en écho aux textes de Robert Lafont
publiés à partir de 1952.
Quels discours les scientifiques ont-ils produits sur les « francophones
» et leurs langues en milieu minoritaire ? Comment ces discours ont-ils
été relayés dans le grand public ? Que veut dire le terme « francophone
» pour les locuteurs des régions périphériques ? Est-il lié à une
identité quelconque ? Quels sont les discours des locuteurs eux-mêmes au
sujet de leurs pratiques et de celles des autres ? Quelles sont les
stratégies les plus couramment en usage pour se positionner entre
uniformisation et différenciation ? Comment ces discours sont--ils liés
aux discours institutionnels de la francophonie ? Quels sont les
rapports de pouvoir qui s'exercent et comment se manifestent-ils ? Même
si tous les francophones vivant dans les milieux
périphériques n'ont pas été colonisés au sens propre, leur imaginaire
n'a-t-il pas été façonné dans un rapport de type colonial ?
Ce sont à toutes ces questions, et à d'autres encore, que nous vous
invitons à réfléchir dans le cadre de ce colloque international.
*Références :*
Canut Cécile et Alexandre Duchêne (2011). « Introduction.
Instrumentalisations politiques et économiques des langues : le
plurilinguisme en question », Langage et société, 136 : 5-12.
De Robillard Didier et Michel Beniamino (dirs.) (1993-1996). Le français
dans l'espace francophone. Paris, L'Harmattan, 2 vols.
Francard Michel (éd.) (1993-1994). L'insécurité linguistique dans les
communautés francophones périphériques. Actes du colloque de Louvain-la
Neuve, 10-12 novembre 1993, Cahiers de l'Institut Linguistique de
Louvain, 19 (3-4) / 20 (1-2).
Heller Monica et Normand Labrie (éds.) (2003). Discours et identités. La
francité canadienne entre modernité et mondialisation. Cortil-Wodon,
Éditions Modulaires Européennes (Proximités -- Sciences du langage).
*Calendrier et informations pratiques :*
Lancement de l'appel à communications début octobre 2011.
Date limite pour la soumission des propositions de communication : le 31
mars 2012.
Communication des décisions du comité scientifique : fin avril 2012.
Les propositions de communication (résumé ne dépassant pas 350 mots hors
références bibliographiques éventuelles, correspondant à une
communication de 20 minutes) devront être adressées sous présentation
anonyme en attachement à un courriel spécifiant nom, affiliation de
l'auteur de même que le titre de la communication, à l'adresse du Centre
de recherche en linguistique appliquée : crla at umoncton.ca.
Frais d'inscription au colloque (incluant les repas du midi et les
pauses santé) : 100$ par participant, gratuit pour les étudiants.
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
*APPEL DE CANDIDATURES
Department of French - McMaster University (Hamilton, Ontario, Canada)
/Date limite: 15 avril 2012/*
Literature and Culture in the Middle Ages and Renaissance and the
Contemporary Imaginary
The Department of French at McMaster University invites applications for
a one year non-renewable contractually limited appointment at the rank
of Assistant Professor in Middle Ages and Renaissance for the period of
July 1, 2012 to June 30, 2013.
The successful candidate will possess scholarly interest and
publications in one or more of the following: Literature and culture;
religion; politics and society; voyages, "discoveries" and exchanges;
Middle Ages and Renaissance and the contemporary imaginary (i.e.: in the
contemporary popular culture). The candidate must hold a PhD and
preferably be the author of publications relevant to the position.
He/she will contribute significantly to the Department's new PhD Program
and M.A. Program, as well as to the undergraduate teaching in literature
and language. Preference will be given to candidates with an
interdisciplinary background and knowledge of digital media. University
teaching experience is an asset. The position complements the
Department's thematic emphasis on Francophonie and diversity, as well as
the university's commitment to innovation in teaching and research, to
international perspectives, and to digital culture.
The current minimum salary at the rank of Assistant Professor is
$66,243.00 plus benefits.
Applicants should submit a letter of application, three letters of
reference, curriculum vitae, teaching philosophy, sample course outlines
and teaching evaluations to:
Dr. Maroussia Hajdukowski-Ahmed,
Chair, Selection Committee,
Department of French,
McMaster University, TSH-515,
1280 Main Street West,
Hamilton, Ontario L8S 4M2
(e-mail: ahmedm at mcmaster.ca).
All documentation submitted in support of your application becomes the
property of the University and is not returnable.
Applications received by April 15, 2012 will be assured of
consideration. Applicants should arrange for the three letters of
reference to reach the department by the same date
For further information on the Department of French, please see:
http://www.humanities.mcmaster.ca/~french/
All qualified candidates are encouraged to apply; however, Canadians and
Permanent Residents will be given priority. McMaster University is
strongly committed to employment equity within its community, and to
recruiting a diverse faculty and staff. The University encourages
applications from all qualified candidates, including women, members of
visible minorities, Aboriginal persons, members of sexual minorities,
and persons with disabilities.
*BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE
BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO*
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